Ethnies Woltariennes

[HRP : Bonjour tout le monde !
Je fonde ce sujet pour que vous puissiez y rassembler toutes vos idées d'ethnies, et que vous puissiez également me taper sur les doigts pour modifier ce que j'ai pu raconter dans ma première contribution à ce topic hihi
Sentez-vous libres de partager vos idées sous n'importe quelle forme, et échanger avec les joueuses pour créer des woltariens selon les ethnies qui seront ici publiées :)
Aucunes obligations à inclure ces ethnies dans votre jeu non plus même si effectivement c'est plus sympa je trouve, et... Que ce serait un peu bête de nier le truc en bloc si vous jouez avec un wolt' d'une certaine ethnie

Pour ma part, j'ai décidé de donner à ma contribution une forme d'extrait d'ouvrage écrit par un ethnologue dont l'identité restera secrète, je trouve que ça cultive un certain mystère bien sympa !

Enjoy !]

Les ethnies woltariennes.

Lors de mes nombreux voyages dans les terres dites encore « sauvages » de notre chère planète mère, j’ai eu l’immense joie et l’immense chance de rencontrer divers peuples aux cultures riches et radicalement différentes de ce que nous, Sétians, définissont comme une « normalité ».
J’irais même jusqu’à affirmer que beaucoup de mes futurs lecteurs Sétians auront du mal à me croire en parcourant mon ouvrage ; je m’efforcerai d’y décrire un maximum de détails au sujet des ethnies que je présenterai, afin d’améliorer la compréhension de ces lecteurs… Et leur crédulité.

Voilà maintenant quinze années que notre magnifique ville, la glorieuse Sétia comme certains la surnommeront, a été fondée ; en quinze ans, sa croissance économique et politique en a fait une capitale mondiale reconnue comme étant de loin la plus développée sur cette planète, imposant dans le monde le Sétian comme langue principale dans toutes les villes.
Il n’en a pas toujours été ainsi, cependant ; si le Sétian est langue majoritaire tout autour du globe, il n’en est rien à Tegdij, où le Tegdijian reste la langue officielle. Quant aux autres villes, comme Tropico Island ou Vésén, il y subsiste des dialectes et accents qui témoignent de l’existence d’autres langues avant l’arrivée du Sétian dans ces terres ; il y a vingt ans, par exemple, les Tropicaliens parlaient le Tropiglyodique, comme l’auront décrit mes collègues sur place. Une langue ancienne, certes, mais une langue qui subsiste sur certains îlots isolés ; peu visités, conservés, authentiques.

La description des très nombreux peuples qui entourent nos immenses cités est un travail laborieux, auquel j’ai consacré toute ma vie ; dans cet ouvrage, au fil des pages et de mes nombreuses recherches, vous aurez le bonheur de rencontrer divers peuples et cultures qui, j’espère, attiseront votre curiosité et votre soif de connaissances.



Comme beaucoup d’entre vous ici, l’aube de ma vie a été marqué par le bourdonnement des navettes et les claquements des souliers sur les pavés de la cité… Enfin, de la « vieille cité Nord », comme elle est à présent surnommée par certains.
Quoi qu’il en soit, c’est donc aux alentours de la grande cité Sétianne que ma carrière d’ethnologue a démarré, avec ma toute première découverte : le peuple Talian.

Dans ce premier chapitre, je retranscrirai avec le plus de précision possible les notes que j’avais prises à l’époque ; le manque de professionnalisme de certaines affirmations de ces dernières me consterne, il s’agit de ma toute première enquête, je n’étais encore qu’un tout jeune woltarien un peu dissipé… Enfin, mon expérience de vieil homme vous épargnera les erreurs d’un jeune chercheur bout-en-train, bien heureusement pour vous.

1) Particularités physiques - La mèche
Chez les Sétians, la mèche, en plus d’être parfois complètement absente, ne dépasse jamais les quelques centimètres de longueur ; la plupart du temps, elle ne pousse qu’entre les oreilles et les poils sont la majeure partie du temps assez fins.
Voici donc un détail qui m’a frappé lors de ma première rencontre avec les Talians ; en plus de ma stupeur de découvrir un peuple de woltarien parfaitement modernes et développés terrés dans une petite vallée forestière sauvage, je fus ébahi de découvrir sur leurs têtes une véritable touffe de poils très épais parfois longs de plusieurs dizaines de centimètres, chez les mieux fournis.

Voici, à titre d’exemple, quelques crayonnés que je réalisai en leur compagnie :


Excusez mes pauvres talents en illustration.

Au bout de quelques mois passés en leur compagnie, je compris très vite et très bien que cette impressionnante mèche était un point majeur de leur culture et leur société.

a) Esthétique

-Chez les woltariennes Taliannes, les coupes de mèches sont très variées et très nombreuses ;
Tresses, perles, coiffures compliquées… La mèche et son entretien constitue un élément majeur de la bonne figure en société ; si l’on n’est pas bien coiffée, alors on ne peut pas être une woltarienne bien née.

Ci-dessous, quelques exemples de ces coiffures sophistiquées ;




Les jours de fête, les femelles agrémentent leurs épaisses mèches de bandes tissées colorées, de fleurs, de dentelles ou de longs fils de perles. Certaines les parfument même à l’aide d’eau de Delladonna, une grande fleur locale très odorante, préparée avec leurs pétales infusés dans de l’eau chaude. Cette fleur très colorée est souvent également représentée sur des brodures, utilisée comme décoration lors de mariages ou simplement offerte à sa belle ; il semblerait que la Delladonna soit également considérée comme un porte-bonheur. Si une Delladonna pousse sous votre fenêtre, alors vous serez chanceux.



-Chez les woltariens, on retrouve cette même importance du soin de la mèche ; mais contrairement aux femelles, les mâles ne tentent pas de maîtriser leurs mèches. La plupart du temps, la mode est à la mèche « gonflée », plus elle est imposante, plus on est viril.
Ainsi, la plupart des mâles se servent d’onguents préparés avec des plantes locales pour styliser leurs mèches et les rendre plus épaisses, plus volumineuses. Il semblerait que ce critère affecte énormément les Taliannes ; chez les femelles, on remarque souvent un certain émoi à la vue de grandes mèches ; plus elle est imposante, plus on se pâme.
Les mâles ayant déjà trouvé une partenaire, ou ne cherchant pas de compagne, ont pour habitude de coiffer leurs très épaisses mèches vers l’arrière de leur crâne, pour démontrer d’une absence de volonté à la séduction ; ceux-ci ne reçoivent aucuns regards de woltariennes célibataires.

Par « séduction », entendez la recherche d’une partenaire définitive ; chez les Talians, les relations éphèmères n’existent pas. Si l’on se lie, c’est pour la vie. Beaucoup de mâles éconduits s’isolent après un refus, et certains finissent même leurs vies célibataires, incapables de surmonter leur chagrin d’amour. Ces derniers se dévouent bien souvent à leurs travaux et sont perçus par les habitants comme des ermites ; pour les jeunes mâles, terminer ainsi est la première motivation pour bien soigner leurs mèches et attirer une bonne partenaire.

-Les jours de fête, les mâles aiment à colorer leurs mèches à l’aide de colorants naturels très éphémères ; jaunes, rouges ou violettes… Plus la couleur détonne, plus on se pavane.
Le soir, les ruisseaux du village se teintent de couleurs fantaisistes ; pour cause : les mâles se lavant la tête à la fin des festivités. Il semblerait que ce phénomène soit très attendu des woltarions, qui adorent se baigner dans ces eaux colorées pour en sortir eux-mêmes teintés.

b)Importance de la mèche en société

Si elle est d’une importance capitale pour l’esthétisme des Talians, la mèche est également au centre d’un grand nombre de manifestations culturelles et pratiques sociales.

-Chez les mères prêtes à pondre, il est coutume de badigeonner leurs ventres arrondis d’onguents et de colorants ; il est de croyance qu’un ventre ainsi pomponné ne pourra donner qu’un enfant très bien coiffé.
Dès que l’oeuf est pondu, toute la famille s’organise pour le couver à tour de rôle ; même les enfants déjà nés prennent le relais lorsque leurs parents fatiguent. Si l’oeuf n’est pas couvé avec soin, les Talians craignent que l’enfant naisse sans mèche ; selon eux, les Sétians ne soignent pas assez leurs œufs en les laissant parfois sans couveur, ce qui expliquerait pourquoi, selon eux, certains d’entre nous naissent chauves.
A la sortie de l’oeuf, les woltarions sont immédiatement coiffés par leurs mères ; de leurs doigts, elles forment leur première coiffure appelée « la couronne du nouveau-né », et qui consiste à démêler très tendrement et aplatir la mèche du bébé contre son front et l’arrière de sa tête, avant de l’enrouler dans un petit linge ; ainsi, les mères réchauffent et protègent les mèches encore fragiles de leurs enfants afin de leur assurer un glorieux avenir.

-Les woltarions de moins de quinze kilos sont coiffés d’une petite coiffe en toile colorée, que l’on attache autour de leur tête ; le retrait de cette coiffe à l’arrivée dans l’enfance marque une étape importante dans la vie d’un Talian : cela signifie qu’ils sont assez grands pour coiffer leurs mèches, ainsi que pour travailler et aider la famille.



-Le soin de la mèche est souvent une activité très sociale, la plupart du temps réalisé en famille ; laver et coiffer la mèche d’un proche témoigne de l’affection qu’on lui porte ; même adultes, certains Talians sont toujours coiffés par leurs mères. Très souvent, les frères et sœurs se préparent ensemble lors des jours de fêtes. L'activité est souvent accompagnée du chant des femmes, comme "Ninna Nanna", une comptine que tout Talian affectionne. (cf. Annexe)

-Chez les Talians, mélanger sa mèche à celle d’un autre en collant les deux fronts est un signe ultime d’affection et de respect ; on le retrouve souvent chez les parents embrassant leurs enfants, lors de retrouvailles ou, à l’opposé, lors d’adieux.

-Lors de ma visite aux Talians, je n’ai vu qu’un seul individu dont la mèche était totalement négligée ; il s’agissait d’un vieil homme seul et totalement isolé, que je soupçonne d’avoir longtemps souffert de dépression. Lorsque j’ai abordé le sujet de sa coiffure, il m’a simplement répondu qu’en absence de sa compagne, décédée, il ne trouvait plus aucune raison de s’en occuper ; par là, j’ai entendu qu’il avait en réalité perdu toute joie de vivre. Lorsque je suis reparti, il avait tout de même tenté de se coiffer pour me dire au revoir.

Pour conclure : contrairement aux Sétians pour qui la mèche n’a pas plus d’importance que le reste de notre pelage, les Talians accordent une importance tout à fait primordiale à leurs coiffures, qui sont au centre de la vie en société. Il semblerait que cette particularité culturelle soit l’une des raisons de l’évolution de leurs mèches ; leur soins pourrait expliquer pourquoi leurs mèches sont devenues aussi imposantes.

2) Rugissement

Après la mèche, la particularité la plus marquante chez les Talians est leur capacité à agir comme nos cousins les Ocelions ; retrousser les babines, montrer les crocs, grogner, rugir, hérisser les poils sur commande… Il semblerait que, contrairement aux Sétians qui ont banni et censuré ces comportements et instincts pourtant naturels chez les woltariens, au nom de règles de politesses, les Talians eux ne semblent pas avoir effacé ces capacités de leur code génétique. Les woltarions sont d’ailleurs éduqués très tôt à rugir et grogner.
Mais contrairement à ce que l’on pourrait penser, les Talians ne sont pas pour autant sauvages ou incivilisés. Il semblerait même que cette capacité à rugir soit une forme de bonne tenue et d'une bonne éducation.


3) La vie familiale et amoureuse

-Chez les Talians, les couples se forment uniquement par amour ; les mariages arrangés n’existent pas. Les couples se forment pour la vie, si l’un des deux partenaires vient à mourir, l’autre ne s’autorisera jamais un autre compagnon. On ne déclare sa flamme qu’une fois ; en cas de refus, la grande majorité des éconduits ne retentent jamais leurs chances, même si rien ne les y interdit : il semblerait que les Talians soient par nature de très grands romantiques.

-Dans l’éducation des enfants, le père joue un rôle tout aussi important que celui de la mère.  Elle s’occupe de leur éducation sociale et sentimentale, lui se charge de les préparer aux travaux physiques ; filles ou garçons, l’éducation ne change que très peu.

-Les mariages sont de très grandes célébrations, auxquelles le village entier participe. Les amoureux sont liés devant leurs parents, qui s’échangent un bien en guise d’offrande et d’accord pour l’union de leurs enfants ; foulards colorés, coiffes, bijoux… Chacun choisit ce qu’il souhaite offrir ; il est de coutume d’offrir un bien précieux, car il est dit qu’une belle offrande des deux partis assurera un avenir heureux et de beaux enfants.

-En dehors du couple, les Talians sont extrêmement pudiques ; même les mâles refusent de se montrer torses nus devant les femmes, ce qui expliquerait pourquoi le travail des champs se fait sans mixité : les femmes d'un côté, les hommes de l'autre.
Même dans la chambre à coucher, le mâle ne se dénudera que si sa compagne lui en fait la demande, ou si elle lui en donne l'autorisation ; la femelle, elle, semble pouvoir dormir nue, à sa guise.

5) La langue

Les Talians ont, exactement comme nous, développé leur propre langue ; très sobrement appelée le Talian. Il semblerait qu’il existe quelques variantes de cette langue, en fonction du milieu social du locuteur.

Voici quelques simples exemples de formules de politesse communes :

Bonjour ! : Buongiorno !
Comment allez-vous ? : Come va ?
Bonne journée ! : Buona giornata !

Les grossieretés sont très mal vues et le plus souvent employées par de jeunes mâles cherchant à se rebeller ; le plus souvent, ceux-cis cessent d'eux-même de les employer à l'âge adulte, probablement en réalisant qu'aucune femelle Talianne n'apprécie les mâles vulgaires.

Comme les petits Sétians, les petits Talians apprennent généralement à écrire et à lire leur langue, qui n’emploit cependant pas le même alphabet que nous, dans l’école du village. Leur scolarité dure durant toute l’enfance et s’achève à l’adolescence, âge où les enfants vont travailler à temps plein avec leurs parents. Il arrive cependant que certains enfants, notamment les garçons, quittent l'école plus tôt pour travailler. La classe assurée par les vieilles femmes du village.

[HRP : Le Talian est l’équivalent de l’Italien!]

5) Croyances

Il est difficile de déterminer l'existence d'un équivalent à notre dieu Pala dans la religion Talianne ; il semblerait tout de même qu'ils croient en une entité toute puissante à laquelle ils ne donnent pas réellement de nom. Il s'agit simplement d'une force, qui peut amener le bien ou le mal sur une famille selon le comportement, bon au mauvais, de ses membres.

Après la mort, le Talian part vivre dans un autre monde ; selon eux, les étoiles et nos lunes seraient de ces autres mondes sur lesquels vivent leurs ancêtres.

6) Histoire

Si les Talians vivaient à l’origine dans de petits villages éloignés de Sétia, dans une vallée dissimulée dans la forêt, la croissance exponentielle de la capitale mondiale a attiré de nombreux peuples à approcher la ville pour tenter de s’y faire une place, dans l’espoir d’une vie meilleure ; malheureusement pour ces peuples, leur intégration parmi nous ne s’est pas réalisée comme ils l’avaient prévu et, je le déplore, beaucoup se sont retrouvés autour de la ville, parqués dans des bidonvilles.
A présent, certains ethnologues surnomment cet événement « le grand rêve Sétian , rêve que peu d’entre eux ont pu réaliser.



Aujourd’hui, certains Talians sont parvenus à obtenir la carte de citoyenneté Sétianne et vivent à présent parmi nous, en ville ; vous pourrez les reconnaître à leur accent subtil pour certains, leurs grognements qu’ils ne maîtrisent pas toujours, leur grand romantisme, ou, plus évidemment, leurs très épaisses mèches toujours élégamment entretenues.

Merci pour ce chouette partage! ;-)


Pour moi les autres woltariens sont aussi capables de grogner, rugir, ronronner... même si quasi personne ne le fait et que ce doit être beaucoup plus répandu chez les guerriers/mineurs/aventuriers véséens que les petits citadins Setian. n_n
Sauf le ronronnement même si c'est un truc qui fait un peu "bébé" et que ça peut être un peu la honte quand un adulte s'y laisser aller.

De même l'épaisseur du poil en général est assez individualisé, j'ai imaginé le poil du torse de certains woltariens plus épais et touffu quand d'autres ont plutôt un pelage qui ressemble à la robe d'un cheval.
D'ailleurs pour les tatouages, à mes yeux, les poils prennent la teinte des bulbes pileux encrés et c'est pour ça que le dessin se voit malgré la présence de poils.


ps : Vu comme j'ai imaginé la mèche de Phoebus et l'ai dessinée lors de son premier WAS alors il doit avoir des origines talianes! X)
Comme il a été abandonné et que RP parlant on ne connait pas ses parents, ça peut passer, uhu!

Merci à toi d'avoir tout lu o/

En ce qui concerne le ronronnement je suis d'accord avec toi, d'ailleurs il n'est pas mentionné comme étant un comportement différent des citadins ! Et je te rejoins aussi sur le côté "anh la honte j'ai ronronne comme un gosse" xD
Pour les rugissements... J'ai vraiment du mal à imaginer des citadins le faire. Nous mêmes on ne retrousse plus nos lèvres comme les singes et on ne pousse plus les espèces de cris sur aigus des singes xD
Je te rejoins sur les guerriers et mineurs qui effectivement pourraient se laisser aller à grogner un peu ou montrer un peu les crocs ; chez les Talians ce serait vraiment très impressionnant cependant, on peut faire comme ça si ça te convient !

Oui oui après chaque woltariens peut avoir une particularité sans que ça fasse partie d'une ethnie ou au contraire sans que ça l'enlève de sa catégorie ethnique.
D'accord avec toi sur le tatouage :)

PS : je suis GRAVE pour la possible identité Talianne du Phoebus!! Ça pourrait donner des rps "crise existentielle" supers intéressants... En mode, Phoebus réalisé qu'il a une meche hors normes et des capacités peu communes à rugir ou hérissée le poil.... Hihihi! :3
L'abandon est assez fréquent chez les Talians n'ayant pas réussi leur arrivée en ville, en plus.

[HRP : Les Shenians habitent l'île Shenjeong.]
Il m'a fallu du temps et beaucoup de patience pour enfin mettre la main sur ce tas de papiers. Un couple de scientifiques vivait ici avant que la femme ne disparaisse, le mari a malheureusement fini sa vie au bout d’une corde. La maison a, quant à elle, péri dans un incendie il y a quelques années de cela, et l’affaire a été close faute de preuve.
La seule chose d’intact était leur laboratoire dans le sous-sol où ils menaient leurs recherches illégales.
Je ne compte pas vous dévoiler de quelle manière j’ai pu m’approprier ces mystérieuses notes, mais je souhaite vous les partager bien que beaucoup de points restent encore inconnus et que les explications soient maigres.

1) Particularités physiques -

Le premier sujet appelé ici PV est le père de huit enfants. Quatre filles et quatre garçons.

- Les yeux

De nombreux croquis (voir ci dessous) montrent un oeil possédant un pli cutané semi-lunaire vertical (siégeant à l'angle interne des yeux). Il n’y a aucune explication par rapport à cette forme particulière, cela reste donc un mystère.
- La taille

D’après un document étudiant la taille chez c'est *terme raciste censuré par l'auteur*, ils seraient plus grands et cela se remarquerait grâce aux jeunes enfants dont la taille se démarque par rapport aux woltariens de toutes ethnies confondues (et connues à ce jour).

Il est cité :

PV - 1M97.
MB - 1M78.
JFM1 - X
VFS2 - X
VMJ3 - X
BFH4 - X
BMG5 - X
VMG6 - X
VMS7 - X
BFK8 - X

Selon ma compréhension, les premières initiales correspondent à la première lettre des prénoms des enfants de PV.
Leur musculature se développent aussi plus vite pour, leur permettre d’être plus apte physiquement à grimper aux arbres pour la cueillette et d’être plus rapide pour la chasse.

- Le poil

Un échantillon a été récupéré et conservé.
Observations :
Bon état général.
Poil bleu, épais.
Provenance jeune, de sexe féminin.

Selon les observations, ces brins de poils ont été arrachés sur un jeune enfant.


2) La vie familiale, amoureuse et amicale
Je n’ai malheureusement trouvé aucune indication à ce sujet.


3) La langue

SC1 [ndlr : Scientifique 1] n’a malheureusement pas réussi à comprendre ce que VMG6 racontait. Cette langue est bien trop éloignée de la nôtre et SC2 soupçonne même qu’ils utiliseraient un alphabet différent.

[ La langue des Shenians est l’égal du Coréen.
Bonjour/Salut : Annyeonghaseyo/Annyeong.
Merci : Gambsabnida/Gomabseubnida/Gomawo ]

4) Croyances

Bien que je me sois penché sur ses quelques croquis, je ne peux que supposer des théories.

VMG6 - tente des mouvements pour exprimé leurs croyances.
Ils semblent très intéressés par ce qui se passe dans le ciel et plus particulièrement de nuit. SC2 pense que la pollution est inexistante chez eux, ils possèdent donc certainement un ciel plus dégagé et par conséquent plus agréable à observer.
Certaines oeuvres représentent des étoiles filantes, d’autres contiennent la représentation d'une gigantesque chaîne de montagnes.

5) Histoire

Je m’excuse encore du peu d’informations que j’ai à vous proposer aujourd’hui, mais selon d’autres croquis et les informations précieuses de VMG6, il s’agirait d’un Royaume obligatoirement gouverné par une Reine et un Roi.  je ne sais pas ce qu’il en est aujourd’hui.
Grâce à d’autres croquis en ma possession, je peux observer que les bâtisses sont principalement construites en bois et montées sur pilotis - peut-être habitent-ils près d’un point d’eau ? Présence de  plages ?
Ils vivent et se nourrissent de viande, légumes et fruits. La pêche, la chasse et la cueillette permettent de faire tourner l'économie. Il est aussi possible de se spécialiser dans l'architecture, la fabrication de meubles, accessoires de maison ou de corps, restaurateur, forgeron ou encore gardien qui est l'équivalent des policiers chez nous.


C’est un peuple encore inconnu du grand public. Leur royaume reste fermé et est inaccessible/introuvable pour les non-originaires. Cependant si vous venez à croiser quelqu’un avec un accent étranger, des yeux effilés ou qui râle dans une langue inconnue.. Etendez votre curiosité et n’hésitez pas à vous y intéresser.


Précisions HRP : L'île peut être accessible et visité par un non originaire si bonne relation avec un Shenian.
Je n'ajoute que les informations dévoilés par le Premier sujet, gardez à l'esprit que ce n'est qu'un morceau de ce que j'ai mis en place pour l'ethnie.