Faune Woltarienne [Importé du forum officiel]

Oyé oyé, j'ai repris les petites choses du forum officiel pour remettre ici - donc si vous avez des bestioles à mettre, vous pouvez l'inscrire ici.

Emysia a écrit:

Beaucoup ont déjà présenté dans la section "Fanarts" des créatures "fictives" qui ont été crées en jouant à Woltar.
Vous pouvez nous les présenter ici, que vous les ayez déjà dessiné ou pas, et nous expliquer le plus précisément possible leur biologie.
Une description de leur aspect, de leur régime alimentaire, de leur mode de reproduction, de leurs habitudes de vie... etc.

Merci de ne pas poster vos commentaires dans ce topic : considérez-le comme une encyclopédie woltarienne à lire  

(Vous pouvez toutefois envoyer vos félicitations en privé)


Merci à Asherya qui avait sauvegardé la majorité des images :)




Belugalinette





Les belugalinettes sont des animaux marins d'une grande douceur. Ils vivent dans une baie de Tropico Island, non loin de l'île principale. 
Ce sont des animaux pacifiques et sociables qui aiment jouer avec les bateaux et les woltariens. 

Ils se nourrissent de micro-organismes marins et de certaines sortes d'algues. 
Ils possèdent trois évents sur le front qui leur permet de respirer en remontant à la surface. 

Bien qu'ils possèdent un système respiratoire analogues aux animaux de terre et pas d'écailles, ils se reproduisent en pondant des oeufs comme les poissons et son munis du même type de nageoires que les poirdines et les sifflaumons. [Emysia]


*Prononcé par Steph' , Belle gally pète U_u' (et oui les petits woltarions)


Bidazyeux


Pendant un safari a Begy, je suis tombé nez à nez devant une espèce nouvelle que j'ai nommé le Bidazyeux. Je ne sais pas vraiment comment ils se nourrissent puisqu'ils n'ont pas de bouche. Pour le moment je les héberge dans ma petite navette car j'arrive tout juste à Begy et je n'ai pas encore de maison mais bientôt je leur ferais une demeure dans le jardin de ma villa. Je suis pratiquement passé à coté de ce couple car ils prennent la couleur de l'environnement qui les entoure et d'ailleurs les images qui suivent ont étaient prises dans ma navette... [Mr Coincoin]

Capriciole




Très courant sur tout Woltar, herbivore, le mâle émet toute l'année de la lumière par son appendice arrière afin d'attirer la femelle. 
Malgré son haut potentiel romantique, sa grande taille et ses énormes antennes font de lui un insecte peu apprécié des woltariennes. [Vyo]


Caraptile






Le caraptile est un animal de la famille des chéloniens à plaques. Cet animal semi aquatique mesure entre 12 et 15 flartes, et peut peser près de 2500 ploutobrammes. Sur la terre ferme, il adopte une posture a demi debout, et en mer, il se déplace grâce à d'amples mouvements de queue. Doté d'une carapace articulée ayant inspirée la tenue du prédawolt, cette bête vit sur les côtes begyennes se nourrit principalement de poisson et d'algues. Cette bête relativement solitaire ne se rassemble en grands groupes qu'au printemps, a la période des amours, pour s'accoupler et perpétuer l'espèce. 

Les griffes de ses pouces sont des excroissances osseuses rigides, qui lui permettent de s'agripper aux rochers dans les courants marins, quand le caraptile guette les poissons qu'il chasse. Le crane de cette créature est utilisée comme protection sur les armures Prédawolt, de Bifidus Actif. 

Si à Begy le caraptile est surtout associé à la lenteur, dans la symbolique setianne, il symbolise la sagesse, la longévité, l'immortalité et la Solidité porteuse du Sol (voir la légende du Caraptile géant portant les terres divines de Pala). 

A Tegdij, le caraptile possède une symbolique particulièrement forte et importante, se faisant l'allégorie du monde. En effet, une fois sur le dos, le ventre du caraptile forme un carré, inscrit dans le cercle formé par la carapace, figurant ainsi la conception schématisée du monde tegdien : le carré au centre du monde, représente la Cité Impériale de Tegdij, les parties entre la carapace et le ventre représentent le reste du monde, les "barbares", tandis que le monde céleste s'étend au-delà du cercle. Elle est connue dans la région de Tegdij comme détenant les secrets du ciel et de la terre. Dans le culte des ancêtres, les tegdiens croyaient pouvoir établir une communication avec le monde des morts par le biais des caraptiles. Ainsi, ils inscrivaient sur un morceau de carapace de tortue une question qu'ils désiraient poser aux ancêtres, après quoi ils relâchaient le caraptile dans l'océan et attendaient son retour, un an plus tard et regardaient la formation des coquillages sur la carapace, pour y lire la réponse à leur question. 

A Vésén également, le caraptile prend une certaine importance dans les mythes et légendes. Le caraptile Khorn I'Chon est le second avatar, la seconde incarnation de Khon Khombre sur Woltar (descendu pour montrer la voie aux woltariens, pour sauver leur peuple).[yannsolo]

Chamoineau





Le chamoineau mesure environ 10 à 15 cm pour le double d'envergure et un poids d'une trentaine de grammes. Le mâle possède une tache grise sur le sommet de la tête qui peut faire penser à la tonsure d'un moine, d'où l'origine du nom. Cette tache est bordée de marron. Le mâle se caractérise aussi par une gorge noire. Son plumage aux couleurs boisées donne à penser qu'il ne compte pas sur le chatoiement pour s'imposer. Discret, il n'hésite toutefois pas à chanter pour signaler sa présence.La femelle est plus terne, de couleur beige, avec la gorge unie. La couleur du plumage est le seul véritable dimorphisme sexuel car femelle et mâle sont sensiblement de la même taille. 

Son chant s'appelle le guilleri ; il est composé d'une suite de « tchip tchip ». On dit qu'il « pépie ». 

Cette espèce se déplace en sautillant et en volant. 

Le Chamoineau domestique est pour l'essentiel sédentaire. Cependant, quelques mouvements migratoires sont connus. 

Mœurs et régime. 

Le Chamoineau bâtit son nid de préférence dans une cavité (fissure, gouttière, etc.), à partir de paille, de plumes, de brins de textile. La femelle pond de 3 à 8 œufs, couvés par les deux parents pendant 14 à 17 jours. 

Vingt jours après leur éclosion, les jeunes peuvent quitter le nid, ce qui permet aux parents de nicher une nouvelle fois. Un Chamoineau peut vivre jusqu'à une dizaine d'années. 

Les Chamoineaux se nourrissent pour l'essentiel de graines, de détritus laissés par les woltariens et de petits insectes. Les jeunes sont nourris d'invertébrés (en particulier d'insectes). Les Chamoineaux mangent également des fruits et des bourgeons, voire de gros coléoptères. Ils vivent en bandes et ne migrent pas. Leur présence est étroitement liée à celle du woltarien, dont ils s'approchent volontiers. À Begy, on estime leur population entre 20 000 et 30 000 couples. Si la ville leur offre de nombreuses possibilités de se nourrir, leur nombre décroit à la campagne, les insecticides et herbicides éliminant les herbes folles et les insectes dont ils se nourrissent. 

Selon les pays et les régions, le Chamoineau est soit protégé, soit considéré comme un nuisible, à cause de ses déprédations sur les cultures, principalement de céréales.[yannsolo]

Coléptile





Le Coléptile, de la famille des dimétrodéidé est un reptile brun de 1m50 de long. Il vit dans les mines de Vésén et à proximité. Il a une colèrette verte sur le dos qui lui sert à se réchauffer quand il sort de sa grotte et aller au soleil. C'est un petit carnivore rusé et rapide, il traque ses proies avant de leur sauté dessus et de leur planter ses crocs dans leur nuque. Il pêche aussi des poissons, tel que les poirdines et les siflaumons, en mettant, au bout de l'une de ses griffes, un appat (vers, brocochoux ...). Il fut aussi longtemps chassé par les pioniers woltariens, à la découverte de la région, pour ces griffes d'ivoire. 
Il est maintenant assez protégé et on peut le trouver dans certains zoos. [Dessiné par Hana Illumise - Mimill]


Dragonntiazaruse





Voici , tout droit sorti des egout de sétia , Le Dragonnétiazoruse ... Sa peau est gluante et collante et des que sa tête devient de la même couleur que sa peau , sa veux dire qu'il sans un danger . Ne fais pas de mal a une mouche . Peut être apprivoiser et peut faire le ménage ( avec de l'entraînement ), il ne mange que des rat sofe les ratragonsoruse ( qui veux dire rat-mutant ). Lui , ne mange que tes produit laitier et des produit EQUALLER ( des animaux a equalle ) . Différemment aux Rat normaux , ils peuve volait . [chipie]

Dusty





Lieu d'habitations : Toutes les villes (ne vit plus à l'état sauvage) 

Habitat : Endroit suffisamment poussiéreux, claire et calme. 

Caractère : Attendrissant. Le Dusty est un animal très expressif et sensible : il peut aussi bien piquer des crises de colères que des crises de larmes, et ainsi vous mettre un bazar inimaginable ! En général, on le voit calme et énergique, toujours prêt à suivre son maître au bout du monde ! 

Alimentation : Il se nourrit de poussière, de tissus ou de boulons en métal. Ainsi, pas besoins de faire le ménage chez vous , il le fait pour vous ! 

Reproduction : Le Dusty n'est ni ovipare, ni vivipare ! Il est hermaphrodite. Lorsque sa vie prend fin, le Dusty perd la clochette qu'il possède au bout de sa queue. Cette dernière contient un embryon qui grossit jusqu'à prendre toute la place libre. Il n'éclot que lorsqu'un woltarien le découvre, faisant exploser la coque de la clochette. 

Prédateur : Fragile et petit, le Dusty a disparut des espaces sauvages simplement parce qu'il se faisait manger par tout le monde. Ainsi, les derniers membres de cette espèces se seraient rapprochés des villes et auraient finalement opter pour la cohabitation. 

Particularité : Les Dusty ont une clochette au bout de leur queue. Il y tienne énormément et ne supporte pas qu'on y touche : seul leur maître en on le droit ! Lorsqu'il se déplace, on peut entendre un petit bruit cristallin. 

Le Dusty est un compagnon idéal pour les woltarions. Joueur et parfait copieur, ce petit animal aime imiter ses maîtres : il lui arrive de piquer des crises de larmes lorsqu'un woltarion pleure. 
Il vous une affection sans limite à ses maîtres et est d'ailleurs prête à les suivres partout ! Malgré sa petite taille, ce mignon petit animal défend son maître avec acharnement contre les autres : une simple moquerie envers son maître suffit à le mettre en colère. 
Sa peau lisse est donc très douce, mais aussi très froide ! Son corps ne dépasse jamais zéro degré. [Bibi-Nocto]

Feunec





Malgré les inconvénients évidents, le Feunec est un animal très gentil et il s'apprivoise assez facilement. 
La femelle supporte quand même très mal le manque de compagnie de ses semblables.[Emysia]

Gaborr Adulte





C'est tout simplement un bébé Gaborr qui a grandit et qui s'est extrait de son oeuf. enfin, pas tout a fait, comme vous pouvez le voir. Les Gaborrs adultes crapahutent à travers les cavernes souterraines de Vesen et dorment la tête en bas, en s'agrippant par leur pattes arrières. Leurs ailes leurs servent pour effectuer de courts vols pour passer des ravines souterraines, des rivières un peu larges, et, évidement, ralentir leurs chutes éventuelles. 
Il a pour habitude de ramper, ventre a terre, pour passer certaines cavernes un peu basses, pour parvenir à dévorer toute créature passant à sa portée. 
A l'instar du bébé gaborr portant des objets qu'il trouve au hasard de ses balades, le gaborr adulte fait de même, avec un certain talent, comme ce "Gaborr'n to be wild", également étudié par Prune de Cythère et Gauvain Trouille. [yannsolo]

Gaborr Jeune (jeune, appelé "bébé") 





Le gaborr vit dans les nappes phréatiques irrigant les marais de Vesen, 
Ceci mit à part, on note le camouflage de ces Gaborrs, fortement influencé par les éléments environnants, a savoir les pépites d'or et le spidonium brut ainsi que la roche. 
On a aussi découvert que quelques gaborrs se dotaient d'objets manufacturés, comme le montre cet exemple stupéfiant, que la scientifique Prune de Cythère a étudié, de concert avec Gauvain Trouille. 
Ils le nommèrent d'ailleurs le Gaborrr'n To Kill. [yannsolo]


Le Halsoch’prar





Le Halsoch’prar est un animal sauvage à six pattes qui ne vit que dans la forêt de Vésén. 
 
La seule nourriture que son estomac supporte sont les champis vénéneux. 
Il en fait donc grande consommation bien que cette nourriture présente quelques inconvénients sérieux : en effet, les champis vénéneux provoquent des hallucinations permanentes aux Halsoch’prar qui ne perçoivent donc pas le monde comme les Woltariens. A leurs yeux, chaque arbre, chaque animal est une menace abominable qui ne désire qu’une seule chose : les tuer. 

Ils sont donc parfaitement impossible à apprivoiser mais ce sont en revanche des montures très prisées lors des rodéos malgré leur queue très puissante qui fouette l‘air aussi violemment que tout ce qui passe à sa portée. 
Nulle besoin de les torturer pour les conserver alertes tant leur esprit est soumis à un stress permanent, même en pleine nature. 

Le Halsoch’prar ne vit donc pas très longtemps puisqu’il meurt généralement d’une crise cardiaque. 
L’autre caractéristique qui en fait un bon animal pour les arènes, ce sont ses bouses vertes émettant de furieuses vapeurs de champis vénéneux qui rendent les Woltariens surexcités pendant pile 3H. 
Il est fortement déconseillé aux jeunes Véséens de mettre le feu aux bouses de Halsoch’prar sous peine de délirer pendant plusieurs jours. [Emysia]

Jellyrafe





Cette créature étrange est constituée entièrement d'une matière gélatineuse, collante, et très sucrée. Les jeunes woltariens leur donnent la chasse le soir, après la classe, et se réunissent en petits groupes pour se partager leur proie et mâchouiller sa "chair" sucrée. Ils adorent son parfum citronné, et particulièrement les antennes oculaires, qui ont un gout tirant plus sur le citron vert. Que les protecteurs des animaux se rassurent, les Jellyrafes sont totalement insensibles à la douleur. Lorsqu'ils s'échappent vivant d'une orgie de gourmandise, ils régénèrent leurs blessures en quelques jours. C'est pour ça que les jeunes woltariens préfèrent généralement laisser repartir leur proie après lui avoir dévoré l'arrière train, pour qu'il se régénère et qu'ils puissent le capturer a nouveau quelques jours après. 

Le Jellyrafe vit en petit troupeau d'une centaine de têtes, appelés "paquets" ou de cinquante d'individus, appelés "bonbonnedhier". Ce deuxième nom vient du fait qu'à une époque, les woltariens faisaient fondre les jellyrafes et les stoquaient dans d'énormes bouteilles de verre, des bonbonnes que l'on fabriquait la veille. On y coulait les Jellyrafes dans les bonbonnes encore tièdes, pour en saisir un parfum caramélisé. Et donc, de ces fameuses "bonbonnes d'hier", dans lesquelles on pouvait faire entrer le jus de 50 de ces betes, découle le nom de "bonbonnedhier". 

Les anciens laissaient ce jus fermenter avec un mélange de plantes dont la recette nous est aujourd'hui"hui inconnue, et il nous est donc impossible de refaire cet alcool, mais il y a fort a parier qu'un vieillard, quelque part, connait encore la recette... Un jour peut-être... 

A la saison des amours, on entend souvent le cri de séduction des mâles, cherchant à attirer les femelles. Ce cri, le confizri, fait a peut prêt ce bruit: "SAKAROOOZ", dans des octaves très graves. La femelle, une fois séduite, répond par un autre cri, "JELIFIAAAAN". A ce signal, le mâle se précipite sur elle, et commence a secréter une substance gluante qui se mélange a une même substance secrétée par la femelle. Ce mélange les relie et quand ils se séparent, forme un fil épais qui se transforme en une grosse goutte collante. Cette goute tombe au sol et prends alors la forme d'un minuscule Jellyrafe, et une nouvelle vie voit le jour. Les bébés Jellyrafes, quant a eux, poussent un cri répétitif: "Arhom! Arhom!" , pour obtenir des mères qu'elles les nourrissent d'une nouvelle sécrétion au bout de leur museau. [yannsolo]


Kakawette





Individu femelle au bord de l'eau, sur une plage de Tropico Island. 

Insecte commun répendu dans toutes les villes, elle provient à l'origine des plages de Tropico Island où le soleil et la forte chaleur lui procurent tout le confort dont elle a besoin pour grossir et atteindre parfois la taille maximale d'une main d'enfant. 
Son nom fait rire les jeunes Tegdijiens, qui l'appellent la "crotte mouillée". Pourtant, elle constitue un met qu'ils apprécient énormément. 

La kakawette pond des oeufs aussi gros qu'elle ; l'oeuf étant accroché à ses organes vitaux, ils sont arrachés lors de la ponte, ce qui implique qu'une femelle ne puisse avoir qu'une portée dans sa vie. Chaque oeuf enveloppe deux larves de kakawette. Chose terrible, les woltariens ne s'intéressent qu'à la progéniture de la bête, grillent ses petits et les servent en amuse-bouche, accompagnés d'un verre d'alcool de brocochoux. 

Parfois, on trouve sur les marchés des oeufs entiers qu'il faut décoqueter soit-même, ou bien de petites kakawettes enrobées d'un caramel croquant. Les enfants et adolescents raffolent tout particulièrement du beurre de kakawette, que l'on obtient en broyant les larves. La pâte est ensuite tartinée sur des bistickets ou des poirdines grillées et servie pour le goûter de nos chers amours. 

En raison de cette forte consommation des jeunes kakawettes, l'insecte a été déclaré en voie de disparition en l'an 5. Depuis, des élevages ont été créés, la capture de kakawettes sauvage est désormais interdite. Cependant, les woltariens les plus démunis de la banlieue de Setia continuent de se retrouver à la nuit tombée, autour des réverbères qui attirent les kakawettes, pour commencer une culture clandestine à profit personnel. [Malyne]


Kirkegaard Sauvage
Kirkegaard Apprivoisé






Cet animal fut apprivoisé par les woltariens aux temps préhistoriques, d'abord pour les aider aux champs,pour tirer les outils agraires et ensuite, ils furent utilisés comme montures de guerre, et, mêmesi on en trouve toujours des spécimens a l'état sauvage, on les retrouve maintenant dans les arènes pour les sessions du fameux Rodéo de Vesen. [yannsolo]


*Tu peux rajouter qu'on s'en sert aussi pour tirer les chariots à la mine... [Par Papy Logan - via Octavia]


krikèkitu Des Sables

On a découvert dans les dunes de Tropico un cousin d'une espèce que l'on rencontrait déjà dans les régions plus verte, le kirkékitu des sables. 

Attention, en plus de mordre comme son homologue des rosiers, il semblerait que cette variété soit en plus très venimeuse... 

Elle se cache dans les arbustes épineux qui recouvrent certaines dunes de Tropico alors ne vous y aventurez pas sans un bon guide et sans un antidote dans le sac à dos. [Emysia]

krikèkitu Des Rosiers


Nouvel insecte découvert dans notre faune locale, par notre xénobiologiste; Cet insecte se dissimule dans les bosquets de rosiers, sous les feuilles. En effet, son corps relativement semblable a un bouton de rosier encore non éclot et ses épines dorsales ressemblant fortement a des épines de rosier standard le dissimulent parfaitement aux yeux des curieux. Cependant, cette créature, bien que vivant au milieu des fleurs est tout sauf pacifique! Prenez garde à ses pattes dangereusement tranchantes et a son bec acéré! elle aurait tôt fait de vous dévorer la main, met qu'elle apprécie au plus haut point. Combien de promeneurs inattentifs ont perdu un de leurs doigts au cour d'une promenade bucolique et voulant cueillir une fleur a leur belle, laquelle belle se retrouvait obligée d'appeler une navette ambulance pour conduire les inattentifs cueilleurs a l'hôpital le plus proche? 
Mais n'allez pas croire que nos contrées sont dangereuses, mes amis, au contraire, vous pouvez très bien rencontrer un adorable Peluchian au coin d'un buisson de gérardniums...[yannsolo]

Krapoghmebaveux


le krapogéhème baveux :

Il fait Partie de la famille des gérnouilladées, tout comme la krenouille et son proche cousin le krapo. 
C'est donc comme son nom l'indique un krapo génétiquement modifié. 
Il fut à l'origine crée par Mystyka Mystère qui voulait faciliter la vie aux alchimistes en leur fournissant des krapos très baveurs: Ils auraient pu remplir une fiolle de bave avec un seul individu. 
Malheureusement, L'éxpérience echoua et le pauvre krapo se trouva Muni de griffes, d'une crinière, de strabisme divergent et d'une curieuse aptitude à jouer le passe-muraille en modifiant involontairement la structure de ses atomes chaque fois qu'il rencontrait un objet dur. [yannsolo]


l'Ocelion





l'Ocelion Des Neiges




L'ocelion ( Wolto Primarius ) appartient à la famille des Woltéïdés. Il ressemble à un gros Woltarien sauvage que l'on peut rencontrer dans toutes les zones boisées de Woltar. L'ocelion est un animal difficile à observer et solitaire. 

Il est également connu dans certaines régions sous le nom de plantelion, ou encore, chez les anciens habitants de Tegdij, de tigron de jade. 

Les ocelions sont carnivores, ils attaquent en général les grands animaux, comme les vachailles, les kirkegaards ou les brutosaures (pour les spécimens vivants sur les iles de Tegdij) mais aussi des animaux plus petits ( lièvres fruitiers, hibouskiças, s'ils en ont besoin, il leur arrive même de pêcher ou de se nourrir d'insectes (kirkèkitu, gourdéoptères) ou de peluchiants, s'ils en rencontrent. En moyenne, un ocelion consomme un kirkegaard tous les sept à dix jours, parfois plus pour une femelle avec des petits.Enfin, l'ocelion peut tuer des animaux d'élevage (Kirkegaards domestiqués, vachkiwi, etc). 

Les ocelions chassent seuls, à l'aube ou au crépuscule, le jour en montagne. Ils traquent leur proie et l'approchent par derrière. Ils peuvent fondre sur un animal du haut d'une branche : c'est la chasse à l'affut. Ils tuent leur proie en mordant la base du crâne, brisant ainsi le cou de leur victime. Ils peuvent ainsi s'attaquer à des animaux beaucoup plus gros qu'eux. Ils enterrent ensuite la carcasse ou la recouvrent partiellement afin de la protéger quelques jours des charognards avant de revenir pour s'en nourrir. 

Les mâles adultes occupent un territoire moyen de 250 km² qui est marqué par leur urine, leurs déjections ou des traces de leurs griffes sur les troncs, accompagnées d'un marquage odorant ; comme les autres wolteïdés, l'ocelion possède des glandes sudoripares au niveau des pelotes digitales et plantaires. Le territoire de l'oceion s'étend de 100 à 1000 km². Celui des femelles est plus restreint, en général moins de 100 km², ce qui implique que le territoire d'un mâle comprend plusieurs territoires de femelles. 

Les civilisations prébegyennes vénéraient l'ocelion comme un Pala ou un être surnaturel, à l'instar du python de la fournaise. Dans les montagnes de Vesen, le dieu Virtoadela est représenté par le motif de l'ocelion sur la porte du Soleil de l'antique cité de Guevara. Pour les Tegdijiens, lors des éclipses de PalaSol, Tut, dieu de la lumiere était dévoré par un monstre céleste assimilé à un ocelion. Les ocelions étaient vus comme les représentants des Palas de la montagne. Lorsque ce phénomène céleste se produisait, les paysans des montagnes faisaient là encore un maximum de bruit mais cette fois, pour effrayer le wolteïdé. Le nom du lac Petracelio (le plus grand des trois lacs du continent du sud) signifie le « lac des ocelions de pierre ». 

Les Sétians lui vouaient un culte. Ils ont sculpté deux ocelions en pierre grandeur nature pour un autel et ils emportaient avec eux des amulettes en pierre représentant l'animal. D'autres peuples le chassaient pour s'en nourrir ou pour sa peau. Dans les croyances animistes des peuples de Vésèn, l'esprit de l'ocelion est celui du chef qui s'impose sans utiliser la violence ou la contrainte. Il est un modèle de persévérance et de détermination, car il attend patiemment le passage d'une proie dissimulé derrière les hautes herbes et les arbres. 

Actuellement, on ne le chasse plus beaucoup, à part pour réguler la croissance démographique de ces créatures. Par ailleurs, on utilise la fourrure ornant son poitrail et son dos pour agrémenter les capes d'apparat des généraux d'armée des marins de l'espace. [yannsolo]




Lièvre Fruitier
Lièvre Fruitier Albinos
Lièvre Fruitier Des Neiges






Ce gros rongeur vit dans les plaines entre Setia et Elet, particulièrement les zones boisées. Ils se dissimulent sous les herbes hautes et se nourrissent de toutes sortes de racines qu'ils trouvent ça et là dans les sous-bois. Il leur arrive parfois de prendre leur courage a deux papattes et de se faufiler dans les potagers et jardins des citadins, ou ils pillent les cultures de radis et brocochoux qu'ils affectionnent particulièrement. 

Ce bel animal est aussi chassé dans la ville de Elet où on en fait un succulent plat que les zhumains pourraient situer entre le lapin aux pruneaux et le lièvre au chutney, en utilisant ses propres fruits. [yannsolo]


Lipion d'eau Douce




De la famille des Aquarius Atalite, le lipion est un minuscule poisson que l'on trouve dans les fleuves et rivières de Woltar. Il avance dans l'eau à l'aide de ses deux "voiles" et respire grâce à de petites branchies placées derrière les nageoires. Il se nourrit des minéraux qui se trouvent dans l'eau. Au bout de sa queue, le lipion possède une petite glande qui fabrique une sorte de matière luminescente. Lors de la période de reproduction, le lipion fait briller la glande pendant un mois pour attirer les femelles qui en sont dépourvues. Il s'en sert également pour s'éclairer dans les endroits sombres. Mais cette petite lumière fait de lui une proie potentielle pour les autres poissons qui sont eux-aussi attirés par la lumière. La matière sécrétée par la glande du lipion est aussi convoitée par les artisans qui fabriquent des ampoules écologiques. Dans un aquarium, le lipion peut vivre une bonne dizaine d'années comparé aux chances de survie dans la nature qui sont d'environ six ans. [Stellanara]


Lusfanpate




Cet animal se trouve dans les plaines de Vésén et de Tegdij. A l'aide de ses dix pattes, il peut courir très vite, et peut être très silencieux. Il peut servir de monture a qui le veux (il peut supporter le poids de 3 woltariens adultes). Il possède deux "mèches de cheveux" tressés en dreadlocks, très solides, qui serve de guide. Il se laisse approcher sans crainte, et vous pourrez gagner sa confiance en lui offrant une tomate bien juteuse, ou simplement en lançant des claquements de langues et en lui caressant la trompe. Attention, il déteste qu'on touche ses antennes ! Les globes lumineux, très légers, qui s'y trouvent, attirent souvent la curiosité des woltariens. On retrouve ces mêmes globes lumineux dans son arrière train. Ils sont protégés par une peau transparente et épaisse. Ils s'éclairent lorsqu'ils ont accumulés assez de lumière durant la journée. C'est pour ça que vous ne verrez jamais un Lusfanpate a l'ombre... La lumière peut duré 24h, mais il faut quand même qu'il reste le plus souvent au soleil. 
Il se nourrit de verdure et d'insectes, et n'hésitera pas a s'approcher des habitations au jardins non clôturés pour manger vos légumes ! [tania15]

Muette






Souvent dite de Porte-ici en raison de sa tendance à changer souvent son nid de place, ce bel oiseau généralement d'une belle couleur turquoise au bec et aux pattes rouges, est très répandu sur Woltar. On en retrouve le plus à Tropico, mais elle est aussi très répandue aux ports de pêche de Sétia, Tegdij et Begy. On a rapporté quelques spécimens à Elet et Es, mais le poisson y est très rare puisque restant dans les profondeurs. Les quelques individus de Begy sont importés, la plupart par accident, lors de déplacement de woltariens en navette. 

La muette est piscivore, même si elle ne crache pas sur les charognes d'animaux terrestres quand elle en trouve. 

La grande particularité de cet oiseau est qu'il communique par ultra-son, ce qui lui vaut son nom de "muette", puisque les premier woltariens, ne possédant pas la technologie nécessaire les voyaient crier sans produire un son. 

La légende veut que celui qui verra une mouette aux couleurs inversées; rouge sang aux pattes et bec bleu-vert, mourra dans d'atroce souffrances endéans la semaine. [Vyo]

Peluchian




Voici le Peluchian, une créature absolument craquante. avec son sourire franc, ses yeux larmoyants, la petite langue malicieuse mais méfiez vous, cet animal adorable est également extrêmement horripilant! Il a la fâcheuse manie de s'accrocher à votre jambe en vous regardant avec son regard apitoyant et quand vous le regardez et que vous faites un sourire attendrit par cette bouille adorable, il se met à pousser un cri strident en vous bourrant les tibias de coups de pied puis se met a courir autour de vous en hululant et en vous jetant de petits objets qu'il garde en réserve dans ses joues (si, si, c'est chiant). On en a découvert 3 espèces, jusqu'à aujourd'hui. [yannsolo]

PipenBoua




De la famille des phasmes, le pipenboua a apprit a maitriser ses secrétions corporelles pour produire une fumée dense et malodorante, faisant fuir ses ennemis. il est également capable, au péril de sa vie, de produire une vapeur brulante, pour attaquer et se défendre face aux assaillants trop surs d'eux. il vit dans les bois des régions tempérées de Woltar, dans les hauteurs de Tropico, notamment. Sa tête étant majoritairement creuse, elle ne le handicape absolument pas vis à vis du vol. [yannsolo]

Python de La Fournaise




(Barbecus Pythoninae) 

Ce serpent, dont on dit qu'il pète le feu, a élu domicile dans les régions désertiques de Woltar. Ou bien les a-t-il rendues désertiques par sa présence, en faisant bruler tous les éléments environnants. Nos scientifiques tablent encore dessus. Son nom viendrait d'un archipel sauvage d'une des planètes qu'auraient visités les colons Samurais, "Latairr",où ils auraient découvert des autochtones vénérant un dieu païen à forme de serpent géant qui vivrait dans le volcan d'une des iles.  

Le python de la Fournaise est parfois utilisé dans les distilleries pour chauffer les énormes alambics. Sa combustion reste pour le moment non élucidée mais on pense qu'il évacue ainsi le surplus de calories qu'il emmagasine en dévorant les peluchiants qui s'égarent sur son territoire.[yannsolo]

Romepillon




genre : Insecte 
Lieu : Tropico 

Petit insecte autrefois très commun dans les collines de Tropico, cette espèce a maintenant complètement disparu. 

Les plus vieux racontent qu'autrefois, ils organisaient des chasses au romepillon et les utilisaient ensuite pour en préparer une bouillie. 

Recette ancienne : 
Broyer une bonne centaine de romepillons au pilon. 
Mettre dans un bocal hermétique. 
Après une semaine, filtrer, ajouter 4 sucres. 
Se consomme tel quel dans un petit verre à liqueur. 

L'absorption de cette boisson procurait un état euphorique qu'on appelait " la kwitte " [tatayette]

Shoppalhin



Ce petit insecte à fourrure des plaines d'Elet se nourrit quasiment exclusivement de nectar de fleurs qu'il vient pomper avec sa petite trompe. Il a la particularité, à la belle saison, de perdre ses ailes ainsi que sa queue de plumes afin de changer de coloris qui varie selon l'espèce de fleurs qu'il a butiné préférentiellement. La fourrure de Shoppalhin est parmi les plus belles et douces, et font le ravissement des plus riches woltariens écolos (trouver une quantité suffisante de fourrure d'une même teinte pour en faire une bordure à un vêtement relève de l'exploit).

Il est à noter qu'il existe des shoppalhin complètement blancs, uniquement dans la chaine des hautes montagnes enneigées entre Vésèn et Elet. Leur fourrure est parmi les plus rares et recherchées. [BlackMao]

Shwarmou




Le Shwarmou c (se prononce [ch-oua-rmou] pour qu'il n'y ait pas d'erreur de prononciation due au w.) un animal semi aquatique, à l'instar de nos otaries, ou de nos phoques, il vit en bord de mer, se nourri essentiellement de poissons et passe son temps à se dorer la pilule sur la plage, après s'être enduit d'huile de boite de poirdines à l'huile abandonnées par les estivants peu scrupuleux. Très courants à Tropico, on a également aperçu de petites colonies au pied des falaises de Setia. [yannsolo]


Singrenouille




Le singrenouille vit exclusivement dans la jungle de Tropico. 
C'est un animal arboricole, pacifique envers les woltariens mais assez tapageur. 
Ils se disputent souvent entre eux, faisant un vacarme monstrueux autour des bungalows. 

Cet animal se nourrit de fruits et d'insectes qu'il attrape avec sa longue langue rétractile et gluante. 

Ses longs doigts munis de ventouses lui permettent également une meilleure tenue aux branches. 

Le singrenouille se reproduit une fois tous les ans et la femelle donne naissance à une portée de 1 à 5 petits. 
Les mâles et les femelles ont exactement le même pelage et la même corpulence ce qui donne lieu, à la saison des amours, à de nombreux malentendus et incidents diplomatiques entre mâles, la parade amoureuse de cet animal étant extrêmement rudimentaire puisqu'elle consiste purement et simplement à sauter sur la "proie" par derrière. 
Cette méthode peut sembler un peu barbare mais, le singrenouille étant un animal asse petit (la hauteur du genou d'un woltarien moyen) et sans griffe ni dents acérées, son agilité et sa rapidité sont les seuls atouts qu'il possède pour faire face aux prédateurs et dangers divers. 
C'est donc en toute logique que le mâle cherche à faire la preuve de son habileté en ce domaine pour assurer aux femelles la progéniture la plus forte. [Emysia]

Singouin




Le singouin est un primate de Woltar. Son lieu de vie sont les forêts de Woltar mais il y a une forte population dans la jungle de Tropico. 

De petite stature, il a de grandes oreilles qui peuvent capter le moindre son jusqu'à 700 mètres. Ses grands yeux qui peuvent bouger très vite lui permettent de repérer ses prédateurs avant qu'ils ne l'attaque, surtout lorsque c'est l'ocelion qui sait passer quasiment inaperçu et qui raffole des singouins car la viande de singouin a un goût très prononcé et très saignant. 

Le singouin se déplace rapidement d'arbre en arbre et on peut voir son passage grâce aux marques laissées par les griffes des pattes arrières. Ses griffes lui donnent la possibilité de rester accroché aux branches lorsqu'il y a parfois une rafale de vent qui se lève venant de l'ouest. Il peut aussi garder son équilibre dans les branches grâce aux griffes et à ses pattes avant qui sont très souples et d'une dextérité supérieure aux autres primates. 

Le mâle a les testicules mauves, pour les femelles, c'est le ventre qui est mauve. 
Sa fourrure est convoitée par les woltariens par sa douceur et ses couleurs surtout les parties mauves. Les woltariens organisent une chasse de plusieurs jours chaque année à Tropico car ils y sont beaucoup plus nombreux. 

Sa nourriture est principalement de feuilles, de racines, de fleurs, surtout les rougoeils qu'ils adorent particulièrement. Ce sont donc des herbivores. [Fofolla]

Slarp




Découvert par Gauvain Trouille, Zoologue à Sétia 

L'aquarius slarpis, individu femelle 

Le slarp est une créature en général aquatique, bien que différentes sous espèces qui ont chacune leurs particularités. 

Le slarp aquatique, dit "aquarius slarpis" est de la famille des Taréïdés. 
Famille qui comporte le terrifant Blaur. 
L'aquarius slarpis est en effet cousin du "tetarius slarpis" origine du Blaur. 
(Le blaur est dû à une mutation complète du tetarius slarpis. Nous pensons actuellement que l'origine de cette mutation serait le spidonium56 que nous rafinons) 

L'aquarius slarpis est une créature marine extrèmement timide. 
Sa taille adulte n'excède pas les 1m56 (plus grand individu femelle recensé) pour une taille minimale de 100 mm à la naissance. 
Les femelles sont plus imposantes que les mâles, et se différencient par la bosse incubatrice sur leurs fronts. C'est cependant la seule différence notable qui permet de sexer les individus. 
Cette sous espèce du slarp vit dans les grands fonds marins, de la région d'Es (où se trouve une faille marine). [BlackMao] 


Tartortu




La Tartatortu est carnivore et a pour apat, ça carapace recouverte de baie et fruit tres apétisant. Elle vit dans les foret de Tropico et il est déjà arrivé quelque accident. On ne trouve jamais cet animal en captivité.Perssonne n'est arrivé a en capturer une. Il faut faire tres attention a elle si vous vous promenez sur Tropico. [Mawoo]



Tapirvolant




Description:

Animal fort massif à quatre pattes et deux ailes, le tapir volant possède des sorte de présabots, ce qui laisse à penser qu'il serait parent des ancêtres de kirkegaard. De couleur assez terne, généralement brun et vert, il se fond à merveille dans son habitat. 
Bien qu'assez disgracieux, ses ailes fines mais puissantes et ses yeux suppliants le rendent assez attachant.


Habitat:

Le tapir volant vit dans les forêts Sétianes et Tegdiennes. Il aime les zones ombragées et humides, mais proches d'un espace dégagé, ce qui le pousse à vivre à l'orée des bois. Néanmoins, leurs territoires sont généralement fort étendus, ce qui fait qu'on peut les trouver jusqu'à 10km d'une clairière ou d'un champ.

Mode de vie:

Le tapir volant vit généralement en famille : un mâle, une femelle et leurs petits. Une fois à l'âge adulte, les petits sont chassés et se trouvent rapidement un partenaire afin de fonder une famille à leur tour. Les portées se composent de 2 à 5 petits, et la gestation est de trois mois. Les jeunes ont un pelage uni, bien que leurs ailes aient déjà une vague nuance verte à la naissance. Lorsqu'ils ne se nourrissent pas, les tapirs se réfugient sur l'arbaladin, sorte de parasite qui se développe sur les arbre en formant une large plaque, durcie par les déjections des tapir. La symbiose de ces deux espèces est un phénomène extrêmement intéressant; lorsque les tapirs repèrent un arbaladin en formation, ils le survolent en l'arrosant de déjection, crachats et autre, permettant de durcir les tiges puisant la sèves des arbres alentours, et lorsque les tiges et la plaque primaire ont bien pris, le tapir le plus lourd se laisse brutalement tomber dessus afin de stabiliser les prises de l'arbaladin.


Nourriture:

Le tapir volant est omnivore, mais son régime alimentaire se compose surtout de vers de terre, d'insectes en tout genre, de graines, de racines ... Il évite la viande très faisandée, mais ne crache pas sur un animal mort, même de plusieurs jours. Il lui arrive de chasser de petits animaux, mais en général il préfère fouiller la boue avec son espèce de trompe souple.

Prédateur:

L'ocelion est sont plus grand ennemi, car il l'attaque par surprise, ne lui laissant que rarement le temps de s'envoler.
Les monstres woltariens le chassent également, mais par leur bruit ils préviennent leur proies qui fuient très rapidement vers une zone déboisée afin de s'envoler. 
Les woltariens le chassent également pour son cuir épais et solide, mais en très faible quantité vu la difficulté d'utilisation (il est très peu malléable et garde en gros la forme de son défunt propriétaire). 

Particularité étonnante:

Doté d'un odorat très délicat, le tapir volant supporte très mal l'odeur de sa nourriture et de l'endroit ou il est forcé d'aller la chercher. Il possède donc une glande à la base du nez qui dégage une odeur enchanteresse qui, malheureusement pour nous et heureusement pour lui, est très volatile et perd très rapidement ses propriétés odoriférantes. Il ne fut donc jamais chassé pour cette particularité, et elle n'est pas un indicateur pour le repérer. 

Légende

Une vieille légende Sétianne veut qu'un merveilleux tapir doré ai sauvé une jeune woltarienne des avances brutales et incestueuses de son père, et que pour l'arracher à son emprise, il la mena jusqu'à l'actuel site de Tegdij, ou elle fonda la ville.

Il existe de très rares tapirs blancs aux yeux rouges, sensés porter chance à ceux qui en aperçoivent un. Leur espérance de vie est néanmoins limitée, car ils sont fort visibles dans la végétation et se font généralement dévorer une fois chassés de leur famille et de la protection qu'elle apporte.

Merci à Emy pour les corrections [Vyo]

Toutou Mostrotus Sympathicus





Hormis le fait que cette bête amphibienne soit un carnivore assoiffé de sang et qu'il pourrait très facilement gober d'une traite un Woltarien tout en armure, le Toutou, aussi communément appelé le "compagnon du suicidaire", est un très joyeux compagnon lorsqu'il est bien traité. 

Curieux de tout et heureux d'un rien, il fait le bonheur des courageux Woltariens car il est une monture rapide et efficace contre l'ennemi. Sans mentir, le Toutou n'a rien à envier à une machine de guerre à la pointe de la technologie humaine. 

Peu de Woltariens croisent des Toutous; à l'état sauvage, ils vivent principalement dans les océans des régions inhospitalières et boueuses. Si un Woltarien veut avoir une chance de domestiquer un Toutou, il a plus de chance de le rendre docile tout petit, à l'état de têtard minuscule. Il est possible d'en trouver dans les rivières à forts courants en été. 
 
Têtard de Toutou. (on devait avoir une illu' mais je crois qu'on l'a jamais eu)

Avec un peu de temps et beaucoup de patience, les nageoires de ce bébé se métamorphoserons en pattes griffues, son corps s'allongera et grossira de cinq-cent-mille fois sa taille. Sa mâchoire s'allongera et des dents aiguisées feront de lui un tueur sans pitié. [Musyka] 

Vachaile




Vachaile [Vachèle]: N.fem. (Plur. : Vachailles) Animal frugivore des régions de Setia. La vachaile est un animal social, qui vit en troupeaux d'environ 30 individus. Cet animal peut facilement atteindre les 500 gr, chose surprenante, pour sa taille d'environ 2m au garrot. Ce poids Infime s'explique par la présence importante de méthane dans sa vessie dite "aéroflot". Il s'agit d'une poche qui s'emplit de ce gaz léger, mais hautement instable, et lui permet de flotter et de voler, a l'aide de ses ailes. On voit fréquemment les vachailles sillonner le ciel de Setia à la recherche de champs de brocochoux sauvages, dont elles raffolent. Les jours d'orage, pour éviter les explosions spontanées, les vachailles évacuent le gaz pour se poser et se mettre à l'abri. Ces jours-la, il vaut d'ailleurs mieux ne pas mettre le nez dehors... Une légende prétend qu'on pourrait les élever, mais on a toujours pas trouver comment les capturer sans les faire exploser. [yannsolo]

Vachkiwi



Une nouvelle espèce de Woltar, issue d'un croisement entre une vachaile et un fruit terrien, le Kiwi duquel croisement l'on vit résulter un étrange animal... mi plante mi animal a la viande au gout de fromage très prononcé: la Vachkiwi: on ne la trouve pas a l'état naturel, mais des élevages vont sans doute apparaitre un jour...[yannsolo]

Les rennelles :

sont des animaux qui aiment le froid. 
Ils viennent se gaver dans l'opulente Tropico et, quand vient la saison chaude sur l'île, ils changent de région pour rejoindre la saison froide qui a lieu en même temps à Vésén et plus au Nord. 
Ils repartent avec une épaisse fourrure et un grosse couche de graisse sur le dos ce qui ne les empêchent nullement de voler pour rejoindre les régions au climat rude. 

Les rennelles se reproduisent lors de la période hivernale dans les grottes abandonnées de Vésén où ils pondent des oeufs qu'ils couvent pendant 3 mois. 
Ensuite, les petits repartent avec leur parents pour s'engraisser à Tropico. 

Ils se nourrissent de sifflaumons, de fruits tropicaliens et de coquillages mais lorsqu'ils sont sur Vésén, ils se nourrissent de champignons et de divers végétaux.

Les gloutonard :

vit dans quelques rares îles entre l'archipel de Tropico et les côtes de l'ancienne ville d'Es. 
Il a été découvert par hasard par des aventuriers en quête d'aventure dans la forêt noire de ces îles. 

C'est un animal assez laid et trouillard qui se fige à la moindre alerte. 
Il pousse des grognements et des couinements faibles. Il s'exprime essentiellement avec ses yeux, très mobiles et expressifs. 
C'est un animal fouisseur qui adore déterrer des champis ou des racines mais c'est aussi un carnivore. 
Comme ses dents se trouvent prisonnière de sa trompe, il ne peut pas vraiment chasser et se contente d'être charognard ou de voler les réserves de viande des woltariens. 
Il aspire alors la viande avec sa trompe avant qu'elle ne soit broyées par les dents qui y sont dissimulées. 

Son pelage est de consistance étrange, assez rêche et peu agréable au toucher. 
Comme il est très peureux et qu'il s'enterre pour se cacher, il est toujours sale et poussiéreux. 
Comme il n'a pas de langue, il en est réduit à se rouler dans les rares étendues d'eau de l'île ou dans la mer.

La Cillue vésénienne. 

La Cillue sort des oeufs de Blaurs, en même temps que Bébé Blaur. 
Après être sortie de l'oeuf du Blaur, la Cillue peut se cacher aisément dans la forêt. En effet, ses pattes peuvent se recroqueviller et se planter dans le sol, elle peut cacher sa tête dedans. Ensuite, rien de plus simple que de se recouvrir de ses ailes qui ressemblent étrangement à des feuilles. 
Elle se nourrit très peu, mais se nourrit de morceaux de champignons. 

Le gourdéoptère: 

insecte de la famille des mouches. Le gourdéoptère est soumis à un problème de salive abondante, lequel entraine bien vite une déshydratation terrible. pour palier a ce problème, les gourdéoptères découpent une rondelle d'écorce de liège qu'ils s'appliquent sur le mufle pour stopper cet écoulement de salive constant. Ça a eu pour conséquence de changer leur morphologie en une sorte de conteneur à salive. Cependant, ca a entrainé un nouveau petit désagrément: leur éxo-squelette est fragilisé par la tension qu'entraine la poche de salive sur leur ventre et quand ils sont très âgés, ils agissent comme des bombes a eau et explosent au moindre choc un tant soit peut violent. 

Le Seaugre :


est un animal unique, il n'en éxiste qu'un, celui-ci se trouvant dans le laboratoire d'un chimiste Bégyien de renommée. 
Il est une erreur : Une grenouille se trouvait dans un bocal , prête pour une expérience dont on ne sait rien, mais sans le vouloir, Le célébre chimiste fit tomber un seau dans ce bocal (seau servant à faire des mélanges d'hydrocarbures, parait-il) et celui-ci se fusionna avec la pauvre grenouille lors de la réaction des produits se trouvant dans le bocal avec la grenouille et le seau. Depuis, cette petite bête et ce seau de fer ne font qu'un, vous la trouverez dans le laboratoire du chimiste Bourtuff dans la forêt du Champi ( Bégy ). Pendant la réaction chimique que la grenouille a subit, elle aurait changé quelque peu d'apparence à cause des produits(peu toxiques) qui devaient servir à réaliser l'éxpérience. 


Le zoitate: 


Zoitatus Piafidus, de la famille des Piaféidés. 
Cet animal virevolte dans les airs de tout Woltar, mais il affectionne particulièrement les coins déserts, tels que Vesen. On voit malgré tout des Zoitates un peu partout sur Woltar. Et selon les regions, le plumage varie. Nous attendons de plus amples informations de la part de nos scientifiques. 


Le Brutosaure (Goriceratops Tropoilus) :


Cet animal énorme (2 flartes (f.) au garrot, 3,50 flartes du bout de la queue au bout du museau pour un poids de 650 ploutobrammes (pb.) en moyenne) vit dans les montagnes de Vesen, et dans les grandes iles a proximité de Tegdij. 

Le Brutosaure a été découvert par Archibald de Cythère, le père de Prune de Cythère, qui s'est chargée, quant à elle, de l'étudier en laboratoire. À la fin du siècle, on avait recensé 500 individus, mais depuis que la chasse en a été interdite, les populations se sont redéveloppées progressivement. Cet animal vit dans des zones qui bénéficient d'un climat assez doux. S'il s'y nourrit essentiellement de fruits frais, Le brutosaure broute également des plantes herbacées, des fougères et use de sa force pour plier les arbres, pour attraper lesdits fruits qu'il mastique alors avec ses dents jugales, son bec en os étant dépourvu de dents. Sur l'usage de ses cornes et de son bouclier crânien, les xénologues ont émis diverses hypothèses : 

-Défense contre les grands prédateurs, notamment le Gaborr adulte qui vivait dans les mêmes régions à une certaine époque. Malgré la puissance redoutable de ce dernier, il semble que le Brutosaure ait pu sortir vainqueur de nombreux combats. Il est à noter que l'articulation de la tête et du cou est de forme sphérique, elle se situe au point d'équilibre de la tête. Ainsi, le Brutosaure pouvait faire face dans toutes les directions avec rapidité et précision. 

-Affirmation du rôle de mâle dominant au sein de la horde et séduction des femelles. Il est probable que des combats aient opposés les mâles qui s'affrontaient à coups de cornes. Une partie supérieure du crâne, creuse, servait apparemment à amortir les coups. 


-Un moyen de communication pour le troupeau. 

La collerette pouvait également servir pour la régulation thermique. Vascularisée, elle était capable d'emmagasiner ou libérer de l'énergie selon l'exposition.


Le Woltozaur (animal disparu) 


Hana Illumise, Loalou le Terrible et Jaxom de Benden ont découvert des squelettes de ses individus le 3/3/4 à Sétia. 

I. C'est qui lui ? 

Le Woltozaur fait partie de la famille des Dinosauridés Woltariens.Il y a trois sortes de Woltozaurs : 

- Le Woltozaur Aquatique ; 
- Le Woltozaur Terrestre ; 
- Le Woltozaur Aérien ; 

Il mesurait environ 15 m de long. Les aquatiques vivaient dans l'océan, le plus souvent à côté des îles Tropico. Cependant, on en a trouvé quelques uns dans les lacs de Sétia. Les Terrestres vivaient dans les grandes forêts, ils ne sortaient de celle-ci que pour migrer vers une autre. Les Aériens vivaient le plus souvent en haut des montagnes, il aimaient se confondrent avec les nuages et jouer avec d'autres animaux volants. 

Ce grand animal était pacifique et ne mangeait que des végétaux ou des pierres. 

II. Pourquoi a t-il disparu ? 

Les Woltozaurs coulaient des jours heureux, jusqu'à ce que les Blaurs apparurent. Ces monstres cruels tuaient tout sur leurs passages. L'espèce woltozaurienne disparu ... 

III. Disparu ... Pas exactement ! 

Une Woltozaur eu un fils ... mais il ne ressemblaient pas du tout à un Woltozaur. Mais plutôt à un ancêtre du Woltarien. Ce dernier ne se fit pas détruire par les méchants Blaurs, il les fuyit : il traversa les océans, passait les montagnes, se cachait dans les grottes il fit le tour de woltar. Jusqu'à ce qu'il découvrit un groupe d'être comme lui. Il se joingnit à eux, repoussa les blaurs avec leurs aide et, ensemble, peuplèrent Woltar de Woltariens !

Le Hibouskiça (comèrus concièrgeus) 

Ce Piaféîdé vit essentielement la nuit, ou il chasse de gros rongeurs tels que les lièvres fruitiers ou les écureuils frivolants. 
Il passe ses journée a somnoler devant les carreaux des vasistas du Sékoiça, pour y épier les allées et venues des écureuils frivolants Et répertorier les compagnons des femelles de ces rongeurs, pour après aller tout raconter a ses voisines hibouskiças. 

Selon les époques et les cultures, le hibouskiça a pris une image tantôt négative, tantôt positive. 

Dans tous les cas, il reste toujours très lié au domaine du surnaturel, de la magie et de la spiritualité. 

Le hibouskiça, certainement de par son cri inquiétant et son mode de vie « en retraite », fut vecteur de nombreuses superstitions. 

Pour les Samurai pizza cats, le cri du hibou présageait une mort prochaine. Il était également associé à la sorcellerie et à la magie noire. 

Parce qu'il n'affronte pas la lumière du jour, le hibou fut également symbole de tristesse, d'obscurité, de retraite solitaire et mélancolique. 

A Vesen, il exprime le froid, la nuit, et également la mort. 

Mais paradoxalement, le hibouskiça est aussi un grand symbole de sagesse et de connaissance. 

« J'ai parcouru la moitié de Woltar et je me suis enrichie de plus d'expérience que tout autre oiseau », dit le zoitate au hibouskiça. « Comment est-il possible que l'on vénère ta sagesse, alors que tu vis la nuit et ne quittes pas tes falaises ? » - « C'est les yeux fermés que je vois le mieux et mes pensées voyagent bien plus loin que tes ailes ! », répondit le hibouskiça. 

Dans la mythologie Cosmocatienne, le hibou est d'ailleurs associé à la déesse de la sagesse Marie Rouana. Celle-ci en fait également l'interprète d'Atéçouai, son fidèle sergent. 

Le hibouskiça symboliserait également l'intelligence et la réflexion. 

Dans l'iconographie Tegdienne, le hibou est parfois attribué à la Mère Originelle , sans que sa signification puisse être précisée. 

Le hibouskiça jouait, dans la Begynne (région de Begy) antique, un rôle important : c'était un animal terrible, qui était censé dévorer sa mère. Il symboliserait la colère. Il provoquait la sècheresse. Les enfants nés le jour du hibouskiça (solstice) étaient de caractère violent. Le hibouskiça était toujours considéré à cette époque comme un animal féroce et néfaste. 

Pour les Cosmocats de la prairie, le hibouskiça a le pouvoir de donner aide et protection la nuit. De là, l'emploi des plumes du hibouskiça dans les cérémonies rituelles. 

Dans les rites initiatiques de certaines sociétés pizzayennes, figure, perché dans la loge cérémonielle, un homme-hibouskiça qui montre le chemin de la terre du soleil couchant, royaume des morts. Il remplirait ici une fonction de psychopompe. Il peut aussi être considéré comme annonçant la mort : quand le hibouskiça chante, le samurai meurt. 

Bardelia, la femme infidèle de Leeh Tchi, dans le Matékon de Moudujeunoo, est transformée en hibouskiça en punition de son adultère avec un seigneur voisin.

Voici le magnifique Bécochoute (Choutus Bécorum). 

Un oiseau longtemps persécuté à Vésén par les blaurs qui prenaient un malin plaisir à lui arracher les plumes une à une. 

Alors il s'enfuit à Tropico mais le climat, la chaleur horripilante lui donnait des hallucinations (voilà pourquoi il louche). 
Alors il s'enfuit vers Sétia mais un jour en voulant se poser sur un perchoir, un coup de vent lui fit perdre l'équilibre et il tomba les pattes droites dans un bouillon d'un woltarien qui mangeait en pleine air. 
Alors il fila très loin tellement il avait mal et lorsqu'il s'arrêta, il se retrouva à Bégy ou il coule à l'heure actuelle des jours heureux. 

Il n'en existe qu'un mais il peut vivre 10ans et nous ne sommes qu'à l'année 4 donc il lui reste encore d'autres catastrophes devant lui et pour notre plus grand plaisir ! (il lui reste 3plumes qu'il chérit et gare à qui osera les toucher !)



Le LOZILLON: 

Cet animal arrive de tropico,et se déplace souvent vers vésèn pour 
trouver l'amour avec le LOZILLON male.ensuite ils iront en direction de Bégy pour faire des bébés qu'ils abandonneront sur place,1 semaine après l'acouchement de la mère.elle,retournera a tropico et le male,lui partira dans une autre planète encore inconnue,pour se reproduire. 
La mère mourras avec 1 siècle d'existance. 
Le lozillon a des rayures roses pour se protéger.il attaque en lançant des boules d'énergies aussi roses que des bonbons. 
Le bébé lozillon,lui mourras si il ne tue pas des coccinolus 
(petite coccinelle arrivant de sétia).Il referras sa vie et referras aussi une décendenc qui dureras,nous l'espérons,toujours.

Bisouwours : 

Tout les woltarions ont au moins été traumatisés par cette même chanson, leurs pauvres parents croyant bien faire de les mettre devant cette niaiserie créer par Woursilo Nurs. 

"Voilà mon bisouwours,
Je lui fait des bisous,
Des bisous jaune et bleu pour qui soit très heureux,
Des bisous rouge et blanc pour qui soit très content,
Voilà mon bisouwours, 
Je lui fais des bisous !"

Oh oui, cruel souvenir d'enfance. 
Tous pensait que Woursilo s'arrêterait à la simple création de ce dessin animé niais pour nos petits woltarions (qui semblent, en plus, aimer ça.). Mais non ! Il a fait l'irréparable.. Créer un Bisouwours ! 
Après moult expérience génétique, il a enfin réussi à créer cette ignoble créature, tellement douce et tendre, cette petite bouille qui nous fait tous craquer et nous replonge dans notre enfance. Elle nous lobotomise le cerveau à cou de petit gazouillis trop mignon, et devant tant d'onde bisouwouresque, nous ne pouvons que nous exclamer : "Gouizigouiziouuuuukilémignoooooooon!" Oui, c'est horrible, mais c'est la phase terminal de l'attaque des bisouwours. On appelle ça, la douceur et la tendresse !

Le Bisouwours est une créature en forme d'ours, petit, au couleur si craquante et si flashie par moment. Il a une fourrure douce et touffue, un poil docile et on ne se lasse pas de le caresser dans le sens du poil pour qu'il nous fasse ses petits gazouillis si envoutant. Ils doivent faire dans les 30 à 35 centimètres, ils possèdent d'énormes yeux dans les teintes marrons, bleu, rose, or, vert. Quelques spécimens peuvent être strillé de quelques rayures droite, et leurs oreilles sont de toute petite montagne de poil posé doucement sur leurs petite tête ronde. Ils ne possèdent pas de cou, et quand ils se roulent en boule pour dormir, on dirait une balle de woltballe dans lequel on voudrait bien shooter pour éloigner cette horrible créature... Si on n'était pas sous son charme envoutant et indéniable.
Le Bisouwours née dans des petits oeufs au futur couleur de son pelage, un oeuf couvert d'une fine pellicule de poils doux comme il faut. Ses oeufs sont tendrement gardé par les parents, qui ne se rebelle pas d'un poil quand l'un de leurs terribles prédateurs essaye d'en prendre un. Ils déclenchent simplement leurs armes secrète et quasiment mortel : Le câlin bisouwouresque ! Comment ne peut-on pas craquer après un câlin de ses petits boules de poils trop craquante ?
Un Bisouwours peut copuler toute sa vie, et ce dés qu'il a atteins ses 10 premiers jours. Ce sont de vrai petite machine à Bisouwours et ce fut ainsi que l'invasion fut fait ! 
Tout woltar est donc désormais remplit de Bisouwours ! Mais certain ayant des lubies bizarre aime bien offrir à leurs jeunes enfants un bisouwours... Sont-ils dont inconscient du danger qu'il représente ? Ainsi, le Bisouwours est devenu un animal de compagnie apprécié de ses dames en manque de tendresse et de câlin, et des woltarions. Biensûr, quelques justicier sadique ont compris le danger que présent le Bisouwours et des chasses ont lieux assez souvent dans chaque ville pour mettre fin à cette espèce rebutante de tendresse et de douceur.
Woursilo Nurs n'a pas été mis à mort pour la création de ses créature... Il a même récidivé avec plusieurs autres de ses inventions.


La draghyène (dragus professionalus) :

La draghyene et une cousine des hyènes terriennes. 
Mais contrairement à elles, on les trouve surtout dans les régions froides, ou tempérées (Bégy, Sétia, Tegdij et autres régions inhabitées).

Ce sont des animaux de taille moyenne, (environ 1 mètre au garrot, et environ 1.50 mètre de la tête à la queue).
Leur poids varie selon leur âge, leur sexe et leur taille.

Elles vivent en général seules, ou en petites colonies (de 2 à 4 spécimens). Elles sont difficilement visibles, parce que très craintives des woltariens. Il est donc presque impossible de les apprivoiser.
Ces animaux ce nourrissent exclusivement d'insectes juteux, ou de petits mammifères (gourdéoptères, romepillons, lièvres fruitiers...)

La particularité de ces mammifères est leur grande créativité (notamment en matières de coupes de cheveux) pour la séduction, durant la saison des amours. Il faut savoir que près de 70% de la population des grahyènes sont des mâles.
Les femelles sont donc rares et recherchées.

Ainsi une draghyene mâle ...
N'hésitera pas à se teindre les cheveux d'une manière un peu...spéciale...
Pour convaincre une femelle difficile...
De s'accoupler avec lui !

J'ai refait l'image du halsoch'prar :

Et une image d'ocelion dans la jungle de Tropico :

Hop!
J'ai refait aussi le gloutonard!

Voici l'image d'un animal sauvage de la campagne autour de Sétia le Phluut d'Eupaon :

Bon, j'ai eu l'idée d'une bestiole, du coup voilà:

L'Harièk a écrit:

L'Harièk, un animal fétiche à Bégy souvent célébré pour sa signification bénéfique et positive à bien des niveaux.
L'animal avait un corps robuste et trapus, un épais cou musclé, une tête rappelant celle d'un Kirkegaard plus fine et plus racée, un museau épais finis d'une petite barbiche bariolée. Sa tête était surmontée de deux pairs d'oreilles effilées qui s'agitaient sans cesses pour capter les sons tout autour de lui, l'animal étant connu pour être quasiment myope. Pour finir son imposante stature, la tête de l'animal était entourée de cornes enroulées sur elle-même qui lui conférait naturellement un port de tête hautain et un petit quelque chose de royal. Les sillons des cornes étaient souvent parcourus de la même couleur que la barbiche de l'animal, lui conférant un aspect tout aussi précieux puisque la résine colorée qui se créait dans ses cornes à force de grandir était sujet à de multiples convoitises.
La fourrure de l'animal est cotonneuse en hiver, épaisse et chaude bien qu'un peu rêche si on ne la travaille pas, en été elle demande à être tondu au risque d'étouffer l'animal ou de le faire souffrir de la chaleur.
Ses pattes avants sont puissances et ses sabots sont fendues de trois doigts qui lui permettent d'escalader montagnes et pics rocheux sans difficultés. Un ergot saillant se trouve derrière chaque patte, arme avec laquelle le Harièk se défend et défend sa famille et compagne.
La femelle aborde une queue toute ronde, touffue qui surmonte sa croupe, tandis que le mal s'en retrouve dépourvus.
Bien qu'étant un animal qu'on représente presque toujours seul, l'Harièk vit en horde à l'état sauvage avec un couple qui dirige la horde et assure son équilibre tant physique (trouver de la nourriture, guider la horde, assurer leur protection) que mental au travers de geste d'empathie et de compassion dont font preuves les Harièk entre eux. On pense à tort que les Harièk mâles sont polygames et se créent un harem au travers de la horde dont ils font partie ou qu'ils créent: rien de tout cela n'est vrai. Des cherchers en ethologie Woltariennes ont prouvé que l'Harièk est fidèle à sa femelle avec lequel il choisit de s'accoupler et ainsi de procréer. Il n'est pas rare de voir des Harièk mâle ou femelle s'arrêter simplement de se nourrir ou de quitter leur horde familiale pour veiller sur le corps de leur partenaire tout juste décédé.
Le deuil chez les Harièk fait encore sujet de pleins d'études diverses et variées.
Les femelles arborent des fourrures comme "ciré" naturellement par la sécrétion de la résine coloré de leur corne qu'elle se répartisse sur la fourrure en se frottant de longues heures aux arbres, rochers et autres supports solides sur laquelle elles peuvent abîmer les sillons de leurs cornes pour ensuite répartir la couleur.

L'Harièk est devenu symbole de justesse, de famille, de regroupement et même dans sa représentation fausse d'animal solitaire, il est l'image d'un coeur fort aimant. De par sa myopie, les Harièk se retrouvent souvent dans de spectaculaire combat où ils se foncent dessus, corne en avant ou cherchent à se blesser mortellement à l'aide de leurs ergots dans des ruades incroyables. Il est alors symbole de force, de courage et de détermination.

Bien trop petit pour participer à des rodés de Vésen, il est surtout élever pour sa viande, sa fourrure et sa résine colorée. On ne trouve que quelques hordes encore sauvages d'Harièk dans des espaces protégées ou inexploité par les Woltariens. La plupart sont donc apprivoisés et vivent dans des hordes créer de toutes pièces par leur éleveur pour assurer leur bien être et bon équilibre.

Y aura pas d'illu, yésépadessiné :<.

Les liens des premières images sont morts, snif!

Nouvelle bestiole d'origine vésénienne ayant pris vie lors d'un RP  

Le Tatoutou

Le Tatoutou a écrit:

Les Tatoutous, ses fidèles créatures de rancher et d'éleveurs, bon pour tout un tas de raisons, étaient issus d'ancêtres prédateur et sauvage qui avaient, en tout temps, sillonner Vésen et ses contrées, organisé en meute, autour d'un ou plusieurs individus faisant office de cheffe. Apprivoisé en des temps reculés de l'âge Woltarienne du monde, le Tatoutou avait perdu tout l'aggressivité de ses ancêtres, devenant de serviable ami et outil à ceux qui avaient assez de temps à dépenser pour s'en occuper.

Ses créatures voûtées, au dos recouvert d'une caparace en dos partie qui apparaissait amovible et muait une fois par an pour se renouveler et s'endurcir hiver après hiver, était séparée et reliée entre elle par une partie toute molle de petit plis dur pourtant tout doux au toucher, semblable à des pliure d'accordéon qui, justement, se frippaient ou se détendaient, en fonction des mouvement de l'animal.

Le museau racé et fin était parcourus d'autant de poils très fins servant de capteur de chaleur et de nourriture que d'écailles qui protégeaient superficiellement sa tête. Il avait, pourtant, sur le haut du crâne, une plaque dur et douce, qui enrobait ses quatres oreilles fluettes, semblable à des flûtes de champoirdine qui partaient en arrière et leur donnait un air aérodynamique.

D'ordinaire expressif, le Tatoutou possède deux pairs d'yeux qui se suivent de part et d'autre de sa tête effilée tout en longueur. Sa truffe, molle et humide, s'agite toujours de bonheur quand il flaire une nouvelle odeur à tracer. En fin limier, ces créatures servent autant à la chasse qu'à la protection, faisant d'eux de parfaits compagnons de voyages, de vie, de compagnie, de chasse ou même des Tatoutous de gardes dévoués.

On ne voyait pas le roulement de ses solides épaules ni de ses hanches, cachées sous les deux parties carapacées de son corps, lui donnant une démarche particulièrement ridicule, semblant pouvoir basculer à tout moment d'un côté ou de l'autre, se vautrer sans pouvoir jamais se relever seule.

Une longue queue, à la base, faîtes de petites écailles scintillantes, se terminaient en un plumeau chatoyant de longs poils qu'on perdrait des heures à tresser pour éviter qu'il ne les coince dans le roulement des parties coquées de leur anatomie.

Agile, fidèle, loyal et protecteur, le Tatoutou s'attache aussi facilement aux gens qu'aux lieux, dépriment vite si il est loin de toute présence woltarienne jusqu'à se laisser mourir de faim. Inadapté à la vie sauvage depuis des générations et des générations, des ranchers et des woltarien.nes en quête d'un compagnon pour un morceau de leur vie continuent d'adopter des Tatoutous.

Le ventre de ses créatures est recouvert d'une fourrure épaisse, douce, en hiver dans laquelle ils se cachent la tête et le museau, partie très sensible au froid de leur corps. En été, il perd entièrement cette fourrure pour arborer un ventre nu, lisse, fais de petites écailles qui s'entremêlent ensemble parfaitement, à l'image d'un Python de la Fournaise.


Les couleurs du Tatoutou varie, du blanc au noir, en passant par des bleus cobalt, des crèmes, des teintes noisettes et caramels, leur carapace pouvant être gravé de quelques petits symboles fantaisistes ou d'un numéro d'identification pour son suivis vétérinaire.
Tacheté, rayé, de pleine couleur ou en dégradé, les Tatoutous sont aussi colorés et fantaisistes que leur amis et maîtres woltarien.ne.s.

Derrière la première rangée de dent, ils renferment une seconde, rectangulaire, qui sert à broyer os, chair et muscle de ce qu'ils harponnent de leur première rangée. Omnivore, le Tatoutou mange de tout, et souvent n'importe quoi si on ne surveille pas son alimentation un minimum.

Tatoutou standard avec son pelage d'été :


Tatoutou fine avec son pelage d'hiver :

Et pour nos horizons d'oiseaux!

Le Pelavet a écrit:

Reconnaissable entre milles, cet oiseaux originaire de Sétia subit l'urbanisation de la ville et voit ses populations se réduire de dizaines d'années en dizaines d'années.

Grand oiseau noir, le Pelavet a une envergure d'ailes de 170cm, haut de 65cm, et un gros bec coloré incurvé de 15cm.

L'oiseau nourrit de nombreuses légendes autour de lui.
Son plumage noir jure avec les couleurs chatoyantes de son bec qu'il arbore.
Des Pelavets de même famille partage la même couleur de bec et les mêmes irisation à quelques détails près.

Intelligent, débrouillard, très peu peureux du Woltarien, le Pelavet fut un temps vu comme un nuisible et un messager de mauvais présage et de malheurs.
Son apparence effrayante par le noir de son plumage et son envergure impressionnante ailes déployées le desservent auprès des woltarions et de nombreux auteurs et autrices de livres pour petits ont reprit l'image du Pelavet pour symboliser de grands méchants.

Allant jusqu'à romancer les grands rites nuptiaux et funéraires auquel cet oiseau social s'adonne.
Vivant en volée, les Pelavets, lorsqu'ils perdent un membre de cette même volée, sont connus pour exécuter autant un chant spécifique funéraire en canon (créant un véritable brouhaha de bruits mélodiques), tout en s'adonnant à des vols de groupes acrobatiques non loin de la dépouille avant de l'abandonner.
C'est un oiseau qui s'accouple toujours au même partenaire avant de se quitter, laissant à la volée le soin de couver les oeufs, d'élever les petits Pelavets sans distinctions d'enfant ou de liens de sangs.

Si on ne voit pas les couleurs du Pelavet quand on en croise à Sétia, il faut s'armer de patience et tenter l'aventure de les découvrir non loin de leur nid pour les voir hérisser leurs plumes, montrer la naissance colorée de ces dernières et entonner leur vol dansant pour trouver leur partenaire jusqu'à s'accoupler.
Peu importe qu'ils ne changent plus de partenaire de toute sa vie, le couple continuera d'exécuter ces grands vols acrobatiques impressionnants pour se séduire chaque année.

Les naissances des plumes noires peuvent être cuivré, bleu cobalt, vert émeraude, jaune or, blanc crème (qui donne l'illusion d'un Pelavet "vieillissant") et mauve clair.

A l'instar de leur bec qui peut revêtir tout un tas d'irisation et de mélanges de couleurs, leur plumage ne prend qu'une seule couleur à la naissance des plumes qu'ils exposent et cachent en fonction de leur grand numéro de séduction.

Terriblement intelligent, le Pelavet sait se servir de petits outils pour trouver sa nourriture et s'est habituée à la présence woltarienne autour de ses nids et de son environnement.
Pourtant les volées de Pelavet ne cessent de se réduire, de produire et de couver moins d'oeufs et de rencontrer de nombreuses difficultés à élever tout les jeunes jusqu'à l'âge adulte.

Il se nourrit s'insectes, de fruits, de graines et parfois en hivers, des campagnes de sensibilisations sont lancées pour amener les Sétians et Sétiannes à accrocher des petites boules de graines et de gras dans leur jardin ou à leur balcon pour les Pelavets en quête de nourriture.

Son cri est gros "KRWOUAK" bien loin des intonations mélodieuses qu'il peut pousser lors d'un chant funéraire.

Le Marairaie.

Citation :

Les marais cachent parfois de bien étranges créatures comme la Marairaie.

Monstre nuisible de Woltar, elle se trouve dans presque tous les marécages du globe.

Cette grande raie plate se distingue par ses deux yeux jaunes-verts qui surmontent son large corps plat.
Si au premier abord on peut ne pas se méfier de la Marairaie, celle-ci est pourtant très agressive et territoriale.
À la surface des eaux troubles où on la trouve, on ne voit que les deux bosses de ses yeux qui dépassent et le début de sa peau lisse qui est bien souvent recouverte des saletés des eaux stagnantes dont elle raffole.
La Mararaie possède une solide mâchoire qui fait la moitié de sa taille globale, avec des dents aiguisées qui tranchent nettes ses proies et ses ennemis.

Si son premier coup de dent ne permet pas de tuer son ennemi, sa mâchoire verrouille sa prise et elle tente de la tirer au fond du marais pour l'y noyer. 
Pourtant elle n'est pas carnivore mais charognarde. Son tout petit estomac ne lui permet pas d'avaler ses proies en entier.
Elle laisse donc les morceaux de cadavres pourrirent dans les eaux de son marécages et piochent donc dans les chairs putréfiées ramollies lorsqu'elle a faim.

Si sa mâchoire est redoutable c'est aussi son premier point faible, la Marairaie a une force sur-woltarienne pour la fermer mais beaucoup moins pour l'ouvrir et les chasseurs savent donc qu'il suffit de faire pression fermement sur le haut de la mâchoire de cette dernière pour la neutraliser et la capturer.

Les marécages les plus polluées de spidonium par les rejets des usines n'ont pas vu pour autant les Marairaies disparaître. Les rejets de spidonium raffiné leur ont donné des sillons fluorescents à force de manger en quantité de la nourriture, elle aussi, polluée.


Sa viande spongieuse est appréciée des restaurants étoilés Bégyen où elle a beaucoup de succès.
Longtemps considérée comme une viande de pauvre à Sétia, elle peine à s'installer dans leurs assiettes.
À Tropico c'est la viande principale de sushis et sashimis très goûtue où on la consomme crue.

Le Pizavévu

Citation :

Petits oiseaux qui ont longtemps été considéré comme de gros insectes, le Pizavévu est pourtant bien un oiseau.
Pour cause, ses quatre ailes translucides battent si vite qu'on ne les voit pas à l'oeil nu lorsqu'ils volent.
C'est un acteur principal de la biodiversité woltarienne, le Pizavévu se nourrit de nectar et de pollen et par son butinage de fleurs en fleurs permet à la nature de se renouveler et se reproduire.

C'est un oiseau qui ne chante pas et sort majoritairement au crépuscule et à l'aube, là où la lumière des soleils est encore assez faible pour que ses prédateurs diurnes aient des difficultés à le voir.
Ses prédateurs nocturnes ne seront déjà plus entrain de chasser.

On le remarque à sa longue trompe qui s'illumine d'une jolie couleur orange lorsqu'il récupère le nectar des fleurs. Une trompe étrange rétractile qu'il cache derrière son petit bec blanc le reste du temps.

D'un naturel craintif et silencieux, il n'a jamais été domestiqué par les woltariens.
Les biologistes continuent d'étudier le petit oiseau et ses comportements sociaux pour comprendre comment est-ce qu'en l'absence de chant, un Pizavévu peut renseigner à un autre un champ de fleurs, des prédateurs à éviter et divers autres messages.

Son plumage est composé de toutes petites plumes en nuance de gris. Les oeufs du Pizavévu ont la même couleur (et forme) que de petites patates douces woltarienne.

Signe de chance à Tropico, il est vu comme le symbole du travail à Sétia. Une université Sétianne l'a même pour écusson. Les woltariens ont parfois cru que la présence de Pizavévu en nombre certains soirs était le présage de violents orages à venir dans la nuit et le lendemain.

On recense les plus grandes hordes de Pizavévu à Vésen et Tropico, c'est une espèce protégée à Sétia et Bégy où il fait l'objet de nombreux projets pour la sauvegarde de son espèce et des espaces verts nécessaires à son bien-être.

Les Krakayoux

Citation :

Espèce invasive des plages de Tropico, les Krakayoux ont pourtant été pendant longtemps une attraction de l'île.

Cette espèce de crabe dont les femelles ont une carapace aussi large que la paumes woltarien sont recouverts de cristaux qui s'agglomèrent et forment de somptueuses armures colorées. Se déplaçant en banc, les Krakayoux ne sont pas agressif mais envahissant et avec l'urbanisation de l'île et les quelques problèmes de pollution des plages par des déchets ménagers que cela amène, les Krakayoux ont pris l'habitude de s'y loger et d'y pulluler.

Dévorant plastique, carton et mégot de cigarettes malgré que ces éléments les vouent à une mort lente et parfois douloureuse (étouffement, intoxication, durcissement du carton dans leur système digestif...Etc), ils continuent de s'en nourrir. Pendant de brèves années on les a surnommé "les nettoyeurs des plages" avant que des chercheurs n'alarment sur leur décroissance et les méfaits que ces objets woltarient ont sur eux.
Ils sont aussi à l'origine de certaines dégradations de biens publiques : trottoirs, goudrons de la route, poubelles, pontons de pêche à force de les ronger.

Ils sont toujours chassés pour casser la racine des cristaux sur leur carapace, une opération qui ne leur coûte pas la vie et sans risque pour ces crabes mais peuvent amener tout un banc à être beaucoup plus sensible aux prédateurs : zoitates et autres espèces d'oiseaux de Tropico.

Depuis peu, avec les échanges commerciaux entre les différentes villes, des Krakayoux se retrouvent sur quelques plages de Sétia et surtout et pas des moindres, dans les coins les plus arides et sablonneux de Vésen.
Leurs carapaces n'est plus recouvert de cristaux précieux mais de cristaux de spidonium, de charbon et d'autres roches désertique. Vésen ne possédant pas de prédateurs naturel au Krakayoux, ils pourraient être une espèce invasive nocive pour les zones où ils se sont installés et même à la lisière de la ville où ils font les poubelles, détruisent de menues installations électriques et rongent des tuyaux.

Ils se nourrissent habituellement d'autres crustacés et petits poissons piégés dans les points d'eau à marée basse.
A Vésen, des biologistes ont observé qu'ils se nourrissaient de petits lézards et insectes rampants.

La Kissonkon

Citation :

« Une ou deux Kissonkons ce n'est pas un problème, mais le présage d'un problème. »

Ce proverbe Sétian résume assez bien le rongeur carnivore, la Kissonkon. Vivant en bande de 30 à 40 individus, ils sont agressifs, virulents et ne lâchent jamais rien, ils traquent et chassent des proies pouvant faire jusqu'à 30 fois leur taille et leur poids sans jamais douter de leur capacité à l'épuiser pour ensuite tous se jeter dessus et la dépiauter ensemble.

La Kissonkon n'est pourtant pas originaire de Vésen comme le raconte bon nombre de contes et légendes, mais bien de Sétia. L'urbanisation de la ville et Sétia étant ce qu'elle est devenue, a chassé la quasi totalité des Kissonkons des environs de la ville et on en trouve encore une ou deux bandes en activité dans la forêt obscur dont la plus grande connue à ce jour (et régulièrement observée par des biologistes et spécialistes) comptant une centaine d'individu.

Malheureusement les échanges de produits entre Sétia et Vésen l'y ont amenés et depuis, c'est la ville de l'Est qui en recense les plus nombreuses bandes actives. Il n'est pas rare que des aventuriers inexpérimentés ne fassent une mauvaise rencontre avec une bande de Kissonkon et doivent absolument fuir derrière les barrières magiques de protections pour s'assurer de leur protection.

Pour certains, c'est une nécessité de fuir et d'éviter les rencontres avec cette espèce de créatures.
Pour d'autre, c'est un rite de courage d'affronter la bande et de réussir à les faire renoncer à vous choisir comme proie. Après tout, quand on connaît sa faiblesse - la lumière - il est beaucoup plus facile de les faire reculer et renoncer.

Elle ne paye pas de mine pourtant : haute d'une quinzaine de centimètre, au corps filiforme long de 30cm avec une queue touffue qui la prolonge de 7 à 9cm supplémentaire, la Kissonkon n'éveille pas la méfiance des chasseurs ou des aventuriers tout de suite.

Pourtant, comme le dit le dicton, en voir une, signifie que toute la bande est présent autour de vous et qu'il se pourrait qu'elles vous aient choisis pour le dîner !

Le museau fin, un peu ramassé cache une mâchoire aux crocs d'une taille raisonnable mais avec cette fameuse faculté de se verrouiller dans la chaire une fois saisie. La souplesse de cette animal est tel que vous aurez beau secoué, elle ne va pas vous lâcher et peut tenir aussi longtemps que vous si vous ne répliquez pas.

Vive et pugnace, la Kissonkon n'abandonne que si elle est seule ou entourée de ses petits. Mais en bande, elle est capable d'harceler des jours entiers une proie pour l'épuiser et la dépecer.

Elle possède deux petits yeux ronds et noirs, pas de paupières ce qui la fait fuir le jour et les grandes surfaces planes où elles ne peuvent se cacher et se tapir.
Elle vit et chasse donc de nuit et lorsqu'une bande a décidé de prendre une proie en chasse, elles en manipulent la trajectoire de fuite pour l'amener à s'enfoncer toujours plus dans des coins ombragés pour les laisser continuer leurs attaques.

Impossible à apprivoiser, la Kissonkon a une fourrure blanche très prisée des couturiers de Bégy et Tegdij qui ne cessent d'en chercher des morceaux pas trop amochés (ni trop ensanglantés).

Coccipuce


Larve de Coccipuce ou Coccilarve (à gauche), Coccipuce adulte (à droite)

Les Coccipuces sont des insectes kératophages (qui se nourrissent des protéines de constitution que l'on trouve dans le cuir, dans les poils, les fourrures, les plumes, etc.).
Leur corps est allongé. Elles ont des pattes pour sauter et s'accrocher sur leurs hôtes. Deux paires d'ailes poussent quand elles atteignent le stade adulte. Elles sont de toutes les couleurs avec des points (ce qui permet de les reconnaitre à coup sûr).

D'habitude, à l'état larvaire, on les retrouve sur les animaux, voire les woltariens et woltariennes à l'hygiène douteuse. Elles sont alors à l'origine de trous dans le pelage et de démangeaisons (quand elles s'accrochent avec leurs pattes).

Elles adorent aussi établir domicile dans les résidences délaissées (lit, canapanier et vêtements) où elles se reproduisent à toute allure après un repas gargantuesque de fibres textiles et poils. Celui ou celle qui a la chance d'ouvrir la porte tombe alors devant un nuage impressionnant de coccipuces de toutes les couleurs (nuage de confettis !). Heureusement, il existe un traitement à fumiger pour les déloger efficacement, nécessitant l'éviction des habitants deux bons jours pour éviter toute intoxication.

"Si tu essaies de les écraser, ça pue ! Et l'odeur s'imprègne sur les tissus pendant des jouuuurs!" explique Aramis Sweety en faisant référence au Kirk' abandonné qu'elle a trouvé en piteux état, infesté de Coccipuces. Le vétérinaire lui a donné un Coccipeigne pour les retirer efficacement.

En cas d'invasion de Coccilarves sur votre pelage ou celui de votre animal, des peignes spéciaux existent pour les retirer : Le Coccipeigne. Procédez ensuite à un bon lavage.


Fanart de Kachea

Animal vivant exclusivement à Vésén, c'est une créature dotée d'une fourrure épaisse et soyeuse. Fourrure qui prend beaucoup plus d'épaisseur durant l'hiver. Le pelage se décline en plusieurs couleurs parfois ornées de petites tâches. Une cuirasse enveloppe seulement l'abdomen et les flancs pour protéger les organes vitaux durant les combats. De corpulence robuste, l'aspect bréviligne, et la croupe arrondie et basse cet animal est un excellent chasseur doté d'une ouïe sur-développée. Armés de douze canines (6 en haut, 6 en bas), ils réduisent la viande en charpie avant de s'attaquer aux os avec les molaires qui tapissent le reste de leurs puissante mâchoire. La queue est longue et fine, les poils qui la surplombent s'hérissent en cas de danger ou d'attaque imminente. Pesant de 20 à 40 kilos pour les plus gros spécimens, ils ne dépassent néanmoins jamais 50-60 cm au garrot.

Ils vivent souvent en meute de 4 ou 5 individus. Carnivores strict, ils se délectent de n'importes quelles viandes... Même woltarienne, si c'est nécessaire pour la survie du groupe. On peut les trouver un peu partout à Vésén, allant des canyons, des grandes plaines ou même dans les forêts plus ou moins reculées.


"Un Chalyène blessé est un Chalyène mort." En effet, il n'est pas rare de voir les membres d'une meute mettre à mort un de leurs congénère blessé ou affaibli qui, ne leur sera plus d'aucune utilité.

La période de reproduction ne se fait que durant les mois 1 et 2. Ce sont des mammifères et la période de gestation ne dure qu'un seul mois. Si un Chalyénau (ou plusieurs) n'est pas accepté par la meute, il est tout simplement rejeté par celle-ci. Il est vivement conseillé de garder une distance de plusieurs mètres entre la meute et les petits pour éviter une éventuelle agression de leur part. Protecteurs et territoriaux, ils n'hésitent pas à se ruer sur un éventuel ennemi pour se protéger mutuellement.

Le seul moyen d'apprivoiser un Chalyène et d'en trouver un à l'état de Chalyènau abandonné ou de trouver un adulte blessé. Blessé, l'animal sait se faire doux et jouer de ses gros yeux globuleux pour quémander un morceau de viande ou... Un doigt. Mais il sera forcément toujours plus aisé de créer un lien avec un Chalyènau.

Si ils sont bien dressés et nourrit correctement, il n'y a aucun danger pour les élevages alentours ou pour... Vous. Il leur faudra seulement de grands espaces et ne pas vivre seul, sous peine de le voir s'enfuir... La seule présence woltarienne n'étant pas suffisante pour cette espèce, ils ont besoin de pouvoir s'épanouir avec d'autres congénères. Les Chalyènes peuvent s'avérer être de merveilleux animaux de compagnie (et de garde!) et des alliés redoutables pour les guerriers si le lien est assez fort entre eux et leur propriétaire. Ce n'est pas un animal à mettre entre toutes les mains. Ils sont interdits dans le centre-ville de Vésén et encore plus dans les autres villes.




Bébés Chalyènes



Chalyènes Adultes :

Photo de tatoutou avec pelage d'été ! <3

Le Djombah.

Le Djombah est un serpent vivant exclusivement dans les zones désertiques de Vésén. Le corps de ce serpent est entièrement recouvert de petites piques pointues. Le mécanisme de défense de Djombah est très simple... Il suffit d'un seul danger pour que ses piques se dressent et ... soient projetées vers l'individu ou l'animal faisant office de menace. Ces petites armes piquantes, si elles atteignent leur cible, libèreront un venin neurotoxique assez puissant pour paralyser légèrement la victime mais pas assez pour le mener jusqu'à la mort. Le coup de grâce viendra toujours de sa morsure, qui elle, libèrera une plus grosse quantité de venin et qui mettra très peu de temps à atteindre les organes vitaux.

Et comme la nature est très bien faite... L'antidote se trouve sur le serpent lui-même ! Sur l'excroissance en forme de feuille qui surplombe sa queue, plusieurs petites boules y sont accrochées et ce sont ces mêmes petites boules en formes de baies qui servent de remède. Encore faut-il réussir à se les procurer... Si tel est le cas, il suffit seulement de les manger.


Le Djombah se nourrit de petits animaux mais son met préféré reste le feunec qui lui évite une chasse quasi journalière. D'ailleurs, si il vient à consommer beaucoup de feunecs femelles, son excroissance suinte en laissant échapper du spidonium. Il arrive très souvent qu'en période de reproduction des feunecs, certains Djombah explosent littéralement en essayant de s'approcher de trop près des mâles...!


C'est une espèce ovipare. Le nombre d'oeufs qui composent la ponte est d'environ une dizaine. Les oeufs des Djombah sont très appréciés pour leur qualité gustative.

Etant un espèce hautement dangereuse, il est strictement interdit d'en détenir et de les exporter dans les autres villes de Woltar.

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Idée de Poseidodo, inspiré par Wistala35. Dessin de Poseidodo, colorisé par Choupette23. Si Abiche veut aussi les dessiner. Description de Poseidodo.

Le moutoeil est une adorable (et un peu sotte) petite boule cyclope de laine qu'on peut retrouver dans toutes les prairies et clairières de Woltar mais attention, même si les moutyeux vivent en petits troupeaux, ils ne sont pas si courants et faut souvent aller très loin dans la nature pour les trouver. Ils peuvent supporter une chaleur de 30° grâce à un système ingénieux de thermorégulation via une couche de cellules sous la peau pouvant baisser une température corporelle trop élevée. Leur taille peut varier de 50cm à l'âge adulte jusqu'au un mètre pour les mâles dominants.

Ce sont des herbivores qui peuvent te raser une prairie en une journée, des gloutons d'verdure. Mais leur met préféré, c'est le ciboulail sauvage aux abords des forêts, ce qui les rend des proies faciles quand ils s'entêtent à vouloir en manger. Le moutoeil peut se reproduire qu'une fois par an au printemps mais la femelle peut pondre jusqu'à dix oeufs en une seule fois. La breboeil fait le meilleur lait de tout woltar, si si. Ils dorment dans des nids de feuilles et de brindilles confectionnés avec grand soin et pouvant accueillir jusqu'à 5 moutyeux.

Ne voyant rien dans le noir mais ils ont la particularité d'allumer leur unique oeil tel un phare dans la nuit, ce qui n'est pas forcément très judicieux pour les prédateurs, mieux vaut dormir. Ils ont de multiples petites dents parfaites pour macérer la verdure. Leurs 4 pattes velues (variant du blanc au noir en passant par le brun) sont munis de juste 3 doux petits doigts, pas de griffes, pas de sabots. La laine peut être de toutes les couleurs possibles. Les blancs et les noirs sont rarissimes et sont, du coup, très recherchés et pas toujours par des gens bienveillants mais friands d'argent. La tonte estivale vous promet de laine de qualité pour des pulls doux, chauds et confortables

Quelques bestioles rencontrés dans nos rp sans approfondissement ni dessins alors si ça inspire, faites vous plaisir!

Poulpoule, baleinoix, aubergibaleine, cachamarlot, thomaton, phoquetsche, koasingela, écuraton, saladaim, champigaur, canaradis...

Petit animal de compagnie très prisé pour son côté "mignon" par les élevages et boutiques animalières à Sétia, Begy, Tegdij et Vésén, l'axolatte demande cependant beaucoup de soins et d'attention de la part de ses maîtres, surtout lorsqu'il est élevé en aquarium. Il est le cadeau "idéal" que tous parents offrent à leurs enfants, avant que la réalité d'un aquarium qui doit être nettoyé chaque jour, une alimentation variée ainsi que de nombreuses maladies touchant le petit animal ne s'imposent aux jeunes maîtres.

Les motifs et colorations des axolattes se déclinent dans toutes les variétés de boissons caféinées

Les origines de l'axolatte sont inconnues (probablement une des îles encore peu connues du continent), mais son commerce depuis de nombreuses années l'a introduit aussi bien à Sétia qu'aux autres villes où résident de nombreuses familles avec enfants. Il n'est trouvable à l'état sauvage que dans les régions tempérées où son abandon systématique par des maîtres peu scrupuleux lui a permis de se développer à foison, mettant à mal les écosystèmes déjà présents.

L'axolatte préfère habiter les eaux souterraines, mais il n'est pas rare de les voir émerger de leurs grottes et cavernes lorsqu'ils se mettent en chasse de leur repas de poissons et d'insectes. De nature farouches, ils peuvent cependant être approchés par les plus patients des zoologistes / randonneurs / amoureux de la nature avec un peu de persévérance, mais surtout avec l'emploi continu de la technique experte du "doigt agité comme un ver de terre bien juteux".

L'axolatte a une espérance de vie à l'état sauvage d'environs 8 ans.
En captivité, l'espérance de vie ne dépasse pas les 2 ans.

Enfin, à Vésén, la viande d'axolatte est un amuse-bouche proposé dans de nombreux bars et restaurants.

(Idée : Suzuka - Nom : Merylyn - Texte et photo retravaillée : Suzuka)

Rainbee.

Cet insecte se nourrit de pollen qu'il transforme en miel.

A l'état sauvage, le rainbee est si rapide qu'il est presque impossible de le percevoir. Il ne peut être vu qu'en train de butiner ou de se poser sur un plan d'eau où il aime se reposer pour admirer la beauté de ses couleurs chatoyantes.

En élevage, l'insecte est plus gros, plus lourd. Il est gardé dans des champs de fleurs cerclé de miroirs. A cet état, il est peu farouche et ne pique pas. Gare cependant à ne pas approcher ceux qui vivent en pleine nature sous peine d'être piqué et de se retrouver avec une fièvre colorée!

Le venin des rainbee d'élevage est prélevé, débarrassé de sa substance irritante et utilisé dans des bonbons de farce et attrape. Comme si vous aviez la fièvre colorée, votre pelage changera de couleur, mais cette fois, sans douleur! Pour le plus grand plaisir des petits comme des grands.

Le miel multicolore que le rainbee produit en surabondance est très apprécié pour son côté sucré, sain et ludique. Certains chercheurs s’accordent à dire qu’il s’agirait de ses excrétions.

Se trouve à Tegdij, Sétia et Bégy.

Femelles et mâles ne se distinguent que par la taille. La femelle est plus grande car son abdomen lui sert à accueillir les œufs qu’elle dépose à la surface d’étendues d’eaux proches. Les œufs, avalés par les krapo et krenouilles, colonisent leurs corps et éclosent sitôt en contact avec le suc gastrique de l’animal qu’ils dévorent ensuite aussitôt de l’intérieur. A noter que la petite taille des mâles leur est secourable car après l’accouplement, les femelles sont affamées et cherchent à dévorer leur compagnon qui doit fuir jusqu’à trouver une fleur assez pleine de pollen pour rassasier l’appétit de sa belle.

L'Himail est le cousin du Zoitate. A l'état sauvage, on le trouve seulement dans les régions montagneuses. Il y a des années de ça, l'espèce a été apprivoisée dans le seul but de distribuer les courriers des woltariens dans toutes les villes de Woltar, mêmes les endroits les plus reculés.

Animal ultra rapide, doté d'une force titanesque et intelligent, il comprend le langage woltarien! Il vous suffit seulement de lui communiquer la ville, l'adresse et l'identité de la personne et votre courrier arrivera à bon port en un rien de temps. Volant à une altitude moyenne, il n'y a donc aucun danger pour les voyageurs et leur navettes.

Un courrier envoyé mais aucune réponse reçue? Quelques accidents entre Himails et la perte des courriers sont à déplorés, mais que voulez-vous... Le risque zéro n'existe pas!

Un colis à envoyer ? L'Himail peut s'en charger et prendre le colis entre ses griffes et vous le déposer avec douceur à l'endroit voulu. Garanti sans casse!

Animal inoffensif et frugivore, il adore recevoir quelques fruits avant de prendre son envol. La couleur de l'animal est variable mais toujours dans des tons très fluos. A ce jour, un seul élevage d'Himail Postier existe par ville. Etant donné leurs intense activité, ils ont une durée de vie très courte qui ne dépasse guère 1 an.